Qui n’a pas en tête des images du trio Hopper-Fonda-Nicholson dans Easy Rider, sur fond de riffs signés Steppenwolf ? Des images d’hélicoptères et de napalm magnifiées par (et magnifiant) le « The End » des Doors ? Il suffit de voir une seule fois Martin Sheen danser dans sa chambre d’hôtel au début d’Apocalypse Now ou Marlon Brando, en colonel Kurtz ivre de folie mystique, à la fin du même film, pour s’en souvenir indéfectiblement. Pourquoi Sorcese a filmé les Stones ? Et comment ces images et ces musiques se développent et se transmettent de façon virale dans l’imaginaire du panthéon contre-culturel ? Eh bien, c’est ce que Franck Buioni détaille avec passion, brio et force anecdotes dans cet ouvrage magistral. « I love the smell of napalm in the morning ! » Ça tombe bien, ce livre dédié aux « réalisateurs de l’extrême » est écrit au palmitate de sodium… Sébastien Raizer, Camion Noir.
Qui n’a pas en tête des images du trio Hopper-Fonda-Nicholson dans Easy Rider, sur fond de riffs signés Steppenwolf ? Des images d’hélicoptères et de napalm magnifiées par (et magnifiant) le « The End » des Doors ? Il suffit de voir une seule fois Martin Sheen danser dans sa chambre d’hôtel au début d’Apocalypse Now ou Marlon Brando, en colonel Kurtz ivre de folie mystique, à la fin du même film, pour s’en souvenir indéfectiblement. Pourquoi Sorcese a filmé les Stones ? Et comment ces images et ces musiques se développent et se transmettent de façon virale dans l’imaginaire du panthéon contre-culturel ? Eh bien, c’est ce que Franck Buioni détaille avec passion, brio et force anecdotes dans cet ouvrage magistral. « I love the smell of napalm in the morning ! » Ça tombe bien, ce livre dédié aux « réalisateurs de l’extrême » est écrit au palmitate de sodium… Sébastien Raizer, Camion Noir.