Author: | Maxime Fulbert | ISBN: | 9791029401091 |
Publisher: | Éditions Textes Gais | Publication: | December 8, 2015 |
Imprint: | Éditions Textes Gais | Language: | French |
Author: | Maxime Fulbert |
ISBN: | 9791029401091 |
Publisher: | Éditions Textes Gais |
Publication: | December 8, 2015 |
Imprint: | Éditions Textes Gais |
Language: | French |
Arizona Trip
Maxime Fulbert
Pulp de 187 000 caractères, 32 400 mots
Bruce Briggs, rédacteur en chef du Daily Phoenix, le journal du soir le plus lu en Arizona, m’a signalé, il y a un an, la parution du roman de Stephen Carters, Arizona Trip, chez Condor Books. Il sait que je suis un traducteur affamé de romans gays américains. Il a évidemment fait mouche en me proposant le truc. Je me suis jeté dessus. Bruce m’a indiqué que le roman est ce qu’on appelle un roman à clés. Il faut en effet voir chez certains personnages, notamment les Reynolds père et fils, des « personnalités » connues du grand public arizonien. C’est au point que Stephen Carters a quitté l’Arizona et se terre dans une maison de la Côte Est, perdue dans la campagne. Il n’est pas protégé comme le serait un type qui aurait écorné le gratin de la mafia, mais pas loin. Peut-être me suis-je mis aussi en danger aussi ? Je n’en sais foutre rien. En tout cas, je tenais à ce que les Français fervents lecteurs de romans gays, mais qui ne lisent pas l’anglais, bénéficient de ce texte.
Maxime Fulbert
Retrouvez tous nos titres sur http://www.textesgais.fr/
Arizona Trip
Maxime Fulbert
Pulp de 187 000 caractères, 32 400 mots
Bruce Briggs, rédacteur en chef du Daily Phoenix, le journal du soir le plus lu en Arizona, m’a signalé, il y a un an, la parution du roman de Stephen Carters, Arizona Trip, chez Condor Books. Il sait que je suis un traducteur affamé de romans gays américains. Il a évidemment fait mouche en me proposant le truc. Je me suis jeté dessus. Bruce m’a indiqué que le roman est ce qu’on appelle un roman à clés. Il faut en effet voir chez certains personnages, notamment les Reynolds père et fils, des « personnalités » connues du grand public arizonien. C’est au point que Stephen Carters a quitté l’Arizona et se terre dans une maison de la Côte Est, perdue dans la campagne. Il n’est pas protégé comme le serait un type qui aurait écorné le gratin de la mafia, mais pas loin. Peut-être me suis-je mis aussi en danger aussi ? Je n’en sais foutre rien. En tout cas, je tenais à ce que les Français fervents lecteurs de romans gays, mais qui ne lisent pas l’anglais, bénéficient de ce texte.
Maxime Fulbert
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