Author: | Stendhal | ISBN: | 1230000271996 |
Publisher: | Largau | Publication: | October 3, 2014 |
Imprint: | Language: | French |
Author: | Stendhal |
ISBN: | 1230000271996 |
Publisher: | Largau |
Publication: | October 3, 2014 |
Imprint: | |
Language: | French |
Extrait du livre :
Il en commença la rédaction le 30 ou le 31, et il la poussa fort activement jusqu’au 8 février. À ce jour, le premier jet en étant à peu près terminé, il s’arrêta brusquement sans que nous sachions au juste pour quelle cause, et si son impuissance à travailler lui vient des difficultés de son sujet ou de ses chagrins intimes.
Car cette même année voyait la fin de ses amours avec la comtesse Curial qu’il appelle d’ordinaire Menti. Il était en froid avec elle depuis octobre 1825 déjà. Le désaccord ne fit ensuite que s’accentuer. Il est même fort croyable que Stendhal n’entreprit, de fin juin à septembre 1826, son troisième voyage en Angleterre que pour trouver dans l’éloignement un palliatif à une situation qui chaque jour empirait. Néanmoins la rupture définitive lui fut signifiée peu après son retour. Le 15 septembre marque le point culminant de la crise sentimentale de Beyle. Alors, complètement désespéré, il songe au pistolet. Il lui faut un dérivatif, une puissante distraction : dès le 19 septembre il reprend Armance et se sauve à force de travail.
Pour connaître la suite, achetez ce merveilleux et captivant roman
Extrait du livre :
Il en commença la rédaction le 30 ou le 31, et il la poussa fort activement jusqu’au 8 février. À ce jour, le premier jet en étant à peu près terminé, il s’arrêta brusquement sans que nous sachions au juste pour quelle cause, et si son impuissance à travailler lui vient des difficultés de son sujet ou de ses chagrins intimes.
Car cette même année voyait la fin de ses amours avec la comtesse Curial qu’il appelle d’ordinaire Menti. Il était en froid avec elle depuis octobre 1825 déjà. Le désaccord ne fit ensuite que s’accentuer. Il est même fort croyable que Stendhal n’entreprit, de fin juin à septembre 1826, son troisième voyage en Angleterre que pour trouver dans l’éloignement un palliatif à une situation qui chaque jour empirait. Néanmoins la rupture définitive lui fut signifiée peu après son retour. Le 15 septembre marque le point culminant de la crise sentimentale de Beyle. Alors, complètement désespéré, il songe au pistolet. Il lui faut un dérivatif, une puissante distraction : dès le 19 septembre il reprend Armance et se sauve à force de travail.
Pour connaître la suite, achetez ce merveilleux et captivant roman