Author: | Stéphane Ternoise | ISBN: | 9782365413770 |
Publisher: | Jean-Luc PETIT Editions | Publication: | July 8, 2013 |
Imprint: | Jean-Luc PETIT Editions | Language: | French |
Author: | Stéphane Ternoise |
ISBN: | 9782365413770 |
Publisher: | Jean-Luc PETIT Editions |
Publication: | July 8, 2013 |
Imprint: | Jean-Luc PETIT Editions |
Language: | French |
Livre disponible en papier et numérique.
J'ai débuté un tweet : auto-édition, j'écris ton nom.
Il s'agissait de promouvoir mon sixième roman, avec un lien vers romancier.org
Une pensée m'a stoppé net : finalement... oui... c'est un titre de livre !...
L'auto-édition, ce n'est pas ce que l'on vous fait croire !
L'auto-édition ne se résume pas à balancer un livre numérique sur une plateforme aussi puissante et renommée soit-elle.
L'auto-édition ne se résume pas aux médiocres exclus du noble chemin que constituerait la signature chez un vénérable éditeur de préférence parisien et chapeauté par un homme installé dans les grandes fortunes du pays.
L'auto-édition, ce n'est pas la troisième division de l'édition : ce n'est pas une manière de se faire remarquer des Gallimard, Lagardère et confrères pour devenir un de leurs poulains (une de leurs vaches à lait). L’auto-édition réelle nécessite un statut légal.
L'auto-édition existait déjà en papier ! Mais les puissants sont parvenus à contrôler l'indispensable réseau de distribution et les 25 000 points de vente furent et restent des espaces réservés aux industriels (sauf rares exceptions insuffisantes pour permettre à l'indépendant d'être visible, insuffisantes pour justifier un subventionnement public au nom de la diversité éditoriale).
Le « lieu de vente unique », comme l'aurait voulu l'éditeur d'Aurélie Filippetti, n'est qu'un lieu de vente inique, un moyen de contrôler l’édition.
Le champ du possible s'est ouvert avec le numérique pour l'auto-édition, donc pour les écrivains.
L'auto-édition, c'est la possibilité de la liberté pour l'écrivain, contre laquelle les industriels naturellement se battent. Ils tiennent à maintenir les auteurs dans leurs entreprises. Ils en vivent, de ce commerce. L'éditeur ne fait pas la littérature mais du commerce. Et ces gens-là tiennent les auteurs grâce à leur pouvoir médiatique et financier (avec même en plus les bourses de l'argent public). Ecrire sur la liberté, oui. La mettre en pratique, non !
Présentation générale : http://www.autoedition.pro
Je ne vais pas vous raconter ma vie.
Je ne vais pas vous exposer des bons plans pour devenir riches, vendre des mauvais livres ou en fabriquer en trois jours et sept heures.
Des confidences, analyses, explications, digressions, indiscrétions, perspectives. Qui vous permettront de regarder l'édition autrement...
Stéphane Ternoise,
http://www.lotois.fr
Indépendant par convictions depuis 1991
Livre disponible en papier et numérique.
J'ai débuté un tweet : auto-édition, j'écris ton nom.
Il s'agissait de promouvoir mon sixième roman, avec un lien vers romancier.org
Une pensée m'a stoppé net : finalement... oui... c'est un titre de livre !...
L'auto-édition, ce n'est pas ce que l'on vous fait croire !
L'auto-édition ne se résume pas à balancer un livre numérique sur une plateforme aussi puissante et renommée soit-elle.
L'auto-édition ne se résume pas aux médiocres exclus du noble chemin que constituerait la signature chez un vénérable éditeur de préférence parisien et chapeauté par un homme installé dans les grandes fortunes du pays.
L'auto-édition, ce n'est pas la troisième division de l'édition : ce n'est pas une manière de se faire remarquer des Gallimard, Lagardère et confrères pour devenir un de leurs poulains (une de leurs vaches à lait). L’auto-édition réelle nécessite un statut légal.
L'auto-édition existait déjà en papier ! Mais les puissants sont parvenus à contrôler l'indispensable réseau de distribution et les 25 000 points de vente furent et restent des espaces réservés aux industriels (sauf rares exceptions insuffisantes pour permettre à l'indépendant d'être visible, insuffisantes pour justifier un subventionnement public au nom de la diversité éditoriale).
Le « lieu de vente unique », comme l'aurait voulu l'éditeur d'Aurélie Filippetti, n'est qu'un lieu de vente inique, un moyen de contrôler l’édition.
Le champ du possible s'est ouvert avec le numérique pour l'auto-édition, donc pour les écrivains.
L'auto-édition, c'est la possibilité de la liberté pour l'écrivain, contre laquelle les industriels naturellement se battent. Ils tiennent à maintenir les auteurs dans leurs entreprises. Ils en vivent, de ce commerce. L'éditeur ne fait pas la littérature mais du commerce. Et ces gens-là tiennent les auteurs grâce à leur pouvoir médiatique et financier (avec même en plus les bourses de l'argent public). Ecrire sur la liberté, oui. La mettre en pratique, non !
Présentation générale : http://www.autoedition.pro
Je ne vais pas vous raconter ma vie.
Je ne vais pas vous exposer des bons plans pour devenir riches, vendre des mauvais livres ou en fabriquer en trois jours et sept heures.
Des confidences, analyses, explications, digressions, indiscrétions, perspectives. Qui vous permettront de regarder l'édition autrement...
Stéphane Ternoise,
http://www.lotois.fr
Indépendant par convictions depuis 1991