Author: | Tristan Nibelong | ISBN: | 9791029400872 |
Publisher: | Éditions Textes Gais | Publication: | October 16, 2015 |
Imprint: | Éditions Textes Gais | Language: | French |
Author: | Tristan Nibelong |
ISBN: | 9791029400872 |
Publisher: | Éditions Textes Gais |
Publication: | October 16, 2015 |
Imprint: | Éditions Textes Gais |
Language: | French |
Chasse au daguet
Ou À la poursuite des beaux garçons
Tristan Nibelong
Roman de 60 600 mots, 350 000 caractères
Étudiant à la Sorbonne, Tristan Nibelong prépare une thèse sur la littérature érotique homosexuelle en France au siècle des Lumières.
Au cours de ses recherches en bibliothèque, il exhume un manuscrit oublié, dans lequel un proche du roi Louis XV conte ses aventures galantes avec de jeunes et beaux garçons à l’occasion d’un séjour de la Cour à Compiègne en 1764.
Une dizaine d’années après sa découverte, voici enfin ce texte, présenté dans une langue à peine actualisée.
« Je n’eusse pas espéré que l’homme se montrât aussi docile. Il soupira, se leva et gagna la porte, tout nu. Jetant une œillade à travers une fenêtre, je le vis qui cheminait vers le puits. La maison était certes loin du village, on ne risquait guère de l’apercevoir de là, mais je fus persuadé que la chose relevait du peu de pudeur que les gens du peuple mettent à exhiber leur intimité. Il se mit à tirer de l’eau et à s’en asperger à grands seaux. On était à la mi-journée ; il faisait très chaud... »
Retrouvez tous nos titres sur http://www.textesgais.fr/
Chasse au daguet
Ou À la poursuite des beaux garçons
Tristan Nibelong
Roman de 60 600 mots, 350 000 caractères
Étudiant à la Sorbonne, Tristan Nibelong prépare une thèse sur la littérature érotique homosexuelle en France au siècle des Lumières.
Au cours de ses recherches en bibliothèque, il exhume un manuscrit oublié, dans lequel un proche du roi Louis XV conte ses aventures galantes avec de jeunes et beaux garçons à l’occasion d’un séjour de la Cour à Compiègne en 1764.
Une dizaine d’années après sa découverte, voici enfin ce texte, présenté dans une langue à peine actualisée.
« Je n’eusse pas espéré que l’homme se montrât aussi docile. Il soupira, se leva et gagna la porte, tout nu. Jetant une œillade à travers une fenêtre, je le vis qui cheminait vers le puits. La maison était certes loin du village, on ne risquait guère de l’apercevoir de là, mais je fus persuadé que la chose relevait du peu de pudeur que les gens du peuple mettent à exhiber leur intimité. Il se mit à tirer de l’eau et à s’en asperger à grands seaux. On était à la mi-journée ; il faisait très chaud... »
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