Author: | Zulma Carraud | ISBN: | 1230002380292 |
Publisher: | Paris : Hachette, 1859 | Publication: | June 16, 2018 |
Imprint: | Language: | French |
Author: | Zulma Carraud |
ISBN: | 1230002380292 |
Publisher: | Paris : Hachette, 1859 |
Publication: | June 16, 2018 |
Imprint: | |
Language: | French |
46 contes écrit par Zulma Carraud à l'usage des parents et des éducateurs, aussi bien qu'à celui des enfants sachant déjà lire comme le précise la préface.
Des historiettes faciles à lire, souvent courtes, qui s'étoffent au fur et à mesure.
Des saynettes du début, qui ne font que quelques lignes, et ne comptent souvent qu'un ou deux personnages on passe à des histoires plus complexes, mises en scènes avec un contexte, des personnages nombreux liés par des sentiments tout aussi complexes.
Au début, il s'agit de mettre en garde les enfants contre leurs propres comportements dangereux, parce qu'impulsifs, et méprisant la réalité du danger.
L'imprudent tombe à l'eau, mais son frère le récupère et il promet à sa maman de ne plus recommencer.
Le petit malade, malgré la fièvre censée le clouer au lit, ouvre la fenêtre de sa chambre, mais grâce au bon médecin retrouve sa santé.
Des morales faites pour l'époque où la crainte du refroidissement, pouvant conduire les êtres les plus faibles à la mort, les justifiaient.
Un livre pédagogique, une oeuvre sociale, un travail de salut public.
Passé cette mise en bouche, les histoires suivantes, plus longues, ne visent plus les imprudences et leurs conséquences sur la santé et les risques qu'elles peuvent faire encourir aux enfants, mais les questions de comportement, les sentiments que l'on éprouve les uns pour les autres, les bons sentiments comme les mauvais.
La relation à l'autre est le sujet principal. Ainsi dans "la mouche", la maman reproche à la petite Mélanie de se comporter avec elle comme la mouche que la petite voulait écraser la veille parce qu'elle gênait sa lecture.
« Ne fait pas à autrui ce que tu n'aimerais pas que l'on te fit ! »
Puis viennent les contes sur la paresse, le mensonge, la gourmandise, la curiosité, l'obéissance, la liberté, les méchantes farces souvent cruelles, le rejet de l'autre, le secours mutuel, la propriété et le vol.
Chacun des personnages de ce catéchisme laïc, de ce cours d'instruction civique, est tour à tour soumis à une tentation puis, un conseil, un témoignage, la vue d'un comportement exemplaire, l'amène à s'interroger sur son comportement et in fine il choisira de suivre l'exemple édifiant pour son bien et celui de son entourage.
Jamais de punition, ni de drame. La vision de l'abîme, (d'autres diraient de l'enfer) suffit à dissuader ; ou alors des punitions légères qui font entrevoir ce à quoi l'on a échappé.
Des contes à remettre au goût du jour en les actualisant pour lutter contre l'incivisme rampant qui sape le contrat social.
La conclusion appartiendra à la morale du conte intitulé le ramoneur :
« Les choses se passèrent comme l'avait dit le cousin. Matthieu fut toujours sage et laborieux, et son cousin, en se retirant en Auvergne, lui laissa son commerce et ses pratiques. Matthieu fit venir sa grand-mère pour demeurer avec lui ; la bonne vieille finit doucement sa vie dans l'aisance, comblée des soins affectueux de son petit-fils. »
L'Imprudence.
La Rougeole.
Le Bon Frère.
L'Obligeante Petite Fille.
La Mouche.
La Complaisance.
La Grand'Mère aveugle.
La Paresse.
Le Loup.
Contente de peu.
Le Conseil.
L'Obéissance.
Le Serin.
Le Feu.
La Prière.
La Petite Maman.
Le Secours mutuel.
Le Petit Malade.
Le Colin-Maillard.
La Liberté.
Le Petit Agneau.
Le Petit Taquin.
La Petite Gourmande.
Le Petit Glorieux.
Les Tartelettes.
La Petite Curieuse.
L'Enfant trouvé.
La Petite Louise.
Le Petit Berger.
La Petite Fanchette.
L'Enfant avisé.
La Tentation.
Le Bon Petit Garçon.
La Petite Ménagère.
Le Petit Colporteur.
La Bonne Petite Fille.
Les Petits Imprudents.
La Bonne Petite Soeur.
Le Ramoneur.
La Désobéissance.
L'Ange gardien.
La Boudeuse.
La Petit Voleur.
La Petite Paresseuse.
L'Enfant gâté.
L'Enfant perdu.
46 contes écrit par Zulma Carraud à l'usage des parents et des éducateurs, aussi bien qu'à celui des enfants sachant déjà lire comme le précise la préface.
Des historiettes faciles à lire, souvent courtes, qui s'étoffent au fur et à mesure.
Des saynettes du début, qui ne font que quelques lignes, et ne comptent souvent qu'un ou deux personnages on passe à des histoires plus complexes, mises en scènes avec un contexte, des personnages nombreux liés par des sentiments tout aussi complexes.
Au début, il s'agit de mettre en garde les enfants contre leurs propres comportements dangereux, parce qu'impulsifs, et méprisant la réalité du danger.
L'imprudent tombe à l'eau, mais son frère le récupère et il promet à sa maman de ne plus recommencer.
Le petit malade, malgré la fièvre censée le clouer au lit, ouvre la fenêtre de sa chambre, mais grâce au bon médecin retrouve sa santé.
Des morales faites pour l'époque où la crainte du refroidissement, pouvant conduire les êtres les plus faibles à la mort, les justifiaient.
Un livre pédagogique, une oeuvre sociale, un travail de salut public.
Passé cette mise en bouche, les histoires suivantes, plus longues, ne visent plus les imprudences et leurs conséquences sur la santé et les risques qu'elles peuvent faire encourir aux enfants, mais les questions de comportement, les sentiments que l'on éprouve les uns pour les autres, les bons sentiments comme les mauvais.
La relation à l'autre est le sujet principal. Ainsi dans "la mouche", la maman reproche à la petite Mélanie de se comporter avec elle comme la mouche que la petite voulait écraser la veille parce qu'elle gênait sa lecture.
« Ne fait pas à autrui ce que tu n'aimerais pas que l'on te fit ! »
Puis viennent les contes sur la paresse, le mensonge, la gourmandise, la curiosité, l'obéissance, la liberté, les méchantes farces souvent cruelles, le rejet de l'autre, le secours mutuel, la propriété et le vol.
Chacun des personnages de ce catéchisme laïc, de ce cours d'instruction civique, est tour à tour soumis à une tentation puis, un conseil, un témoignage, la vue d'un comportement exemplaire, l'amène à s'interroger sur son comportement et in fine il choisira de suivre l'exemple édifiant pour son bien et celui de son entourage.
Jamais de punition, ni de drame. La vision de l'abîme, (d'autres diraient de l'enfer) suffit à dissuader ; ou alors des punitions légères qui font entrevoir ce à quoi l'on a échappé.
Des contes à remettre au goût du jour en les actualisant pour lutter contre l'incivisme rampant qui sape le contrat social.
La conclusion appartiendra à la morale du conte intitulé le ramoneur :
« Les choses se passèrent comme l'avait dit le cousin. Matthieu fut toujours sage et laborieux, et son cousin, en se retirant en Auvergne, lui laissa son commerce et ses pratiques. Matthieu fit venir sa grand-mère pour demeurer avec lui ; la bonne vieille finit doucement sa vie dans l'aisance, comblée des soins affectueux de son petit-fils. »
L'Imprudence.
La Rougeole.
Le Bon Frère.
L'Obligeante Petite Fille.
La Mouche.
La Complaisance.
La Grand'Mère aveugle.
La Paresse.
Le Loup.
Contente de peu.
Le Conseil.
L'Obéissance.
Le Serin.
Le Feu.
La Prière.
La Petite Maman.
Le Secours mutuel.
Le Petit Malade.
Le Colin-Maillard.
La Liberté.
Le Petit Agneau.
Le Petit Taquin.
La Petite Gourmande.
Le Petit Glorieux.
Les Tartelettes.
La Petite Curieuse.
L'Enfant trouvé.
La Petite Louise.
Le Petit Berger.
La Petite Fanchette.
L'Enfant avisé.
La Tentation.
Le Bon Petit Garçon.
La Petite Ménagère.
Le Petit Colporteur.
La Bonne Petite Fille.
Les Petits Imprudents.
La Bonne Petite Soeur.
Le Ramoneur.
La Désobéissance.
L'Ange gardien.
La Boudeuse.
La Petit Voleur.
La Petite Paresseuse.
L'Enfant gâté.
L'Enfant perdu.