Author: | Adolphe-Basile Routhier | ISBN: | 1230001543865 |
Publisher: | PC | Publication: | February 12, 2017 |
Imprint: | Language: | French |
Author: | Adolphe-Basile Routhier |
ISBN: | 1230001543865 |
Publisher: | PC |
Publication: | February 12, 2017 |
Imprint: | |
Language: | French |
Extrait :
Le trente juillet dernier, je quittais la Malbaie, en compagnie de MM. Claudio Jannet et de Foucault, pour aller visiter le Saguenay et le lac St-Jean.
Le rév. M. Hébert, curé de Kamouraska et l’un des apôtres de la colonisation du Saguenay, avait bien voulu nous joindre à la Malbaie et partait avec nous.
On sait ce que devient la Pointe-au-Pic à la fin de juillet de chaque année. C’est la retraite favorite de tous les citadins qui fuient la chaleur et la poussière des villes. C’est le rendez-vous de ceux qui veulent rafraichir et restaurer leurs membres dans les eaux glacées de la baie, humer l’odeur des varechs, les exhalaisons salines de la mer et les brises embaumées des bois résineux qui couronnent les montagnes.
En un mot, c’est le Tréport du Canada, et l’on y voit accourir de Toronto, d’Ottawa, de Montréal et de Québec tous les heureux qui peuvent s’accorder quelques semaines de villégiature.
Extrait :
Le trente juillet dernier, je quittais la Malbaie, en compagnie de MM. Claudio Jannet et de Foucault, pour aller visiter le Saguenay et le lac St-Jean.
Le rév. M. Hébert, curé de Kamouraska et l’un des apôtres de la colonisation du Saguenay, avait bien voulu nous joindre à la Malbaie et partait avec nous.
On sait ce que devient la Pointe-au-Pic à la fin de juillet de chaque année. C’est la retraite favorite de tous les citadins qui fuient la chaleur et la poussière des villes. C’est le rendez-vous de ceux qui veulent rafraichir et restaurer leurs membres dans les eaux glacées de la baie, humer l’odeur des varechs, les exhalaisons salines de la mer et les brises embaumées des bois résineux qui couronnent les montagnes.
En un mot, c’est le Tréport du Canada, et l’on y voit accourir de Toronto, d’Ottawa, de Montréal et de Québec tous les heureux qui peuvent s’accorder quelques semaines de villégiature.