Les graffitis ont acquis leurs lettres de noblesse après maintes difficultés, ils sont devenus «art urbain». C'est toutefois dans son essence un art éphémère, souvent voué à la disparition pour cause de nettoyage, de démolition d'immeuble, etc. C'est pourquoi Hideko a entrepris à partir de 1998 de photographier ces pièces un peu partout, afin de les conserver en quelque sorte au-delà de leur existence réelle. L'objectif de ce petit livre est de présenter un extrait d'une collection d'un bon millier de photos des graffitis saisis à Genève et environs durant ces dernières années. Certains «spots» sont remarquablement prolifiques, comme par exemple Artamis, espace culturel autogéré sur l'ancien terrain des Services Industriels, vidé à partir de 2009, démoli, dépollué des restes des Services industriels et reconstruit.
Les graffitis ont acquis leurs lettres de noblesse après maintes difficultés, ils sont devenus «art urbain». C'est toutefois dans son essence un art éphémère, souvent voué à la disparition pour cause de nettoyage, de démolition d'immeuble, etc. C'est pourquoi Hideko a entrepris à partir de 1998 de photographier ces pièces un peu partout, afin de les conserver en quelque sorte au-delà de leur existence réelle. L'objectif de ce petit livre est de présenter un extrait d'une collection d'un bon millier de photos des graffitis saisis à Genève et environs durant ces dernières années. Certains «spots» sont remarquablement prolifiques, comme par exemple Artamis, espace culturel autogéré sur l'ancien terrain des Services Industriels, vidé à partir de 2009, démoli, dépollué des restes des Services industriels et reconstruit.