Zayane, jeune Syrienne, est chassée de son foyer suite à son apprentissage secret de la langue copte, et se réfugie en France avec l’aide de son frère
À quelque temps de là, Pierret, professeur de langues anciennes, est contacté par les services secrets qui souhaitent s’entourer d’intellectuels chevronnés afin de décrypter les messages envoyés par certains terroristes. Découvrant la liberté et l’indépendance, Zayane est loin de se douter que ses connaissances l’amèneront à participer, en compagnie de Pierret et du charismatique colonel Kleber, à une enquête explosive.
Parfaitement rythmé, ce roman d’espionnage entrelace les points de vue des divers protagonistes et livre une intrigue haletante et en phase avec nos peurs modernes.
Depuis les quatre coins du globe, nous plaçant tantôt du point de vue de héros passionnés, tantôt de celui de fanatiques sanguinaires, Pascal Riguelle développe un récit captivant et nerveux, fait de manipulations et rebondissements, et qui plonge dans l’histoire du terrorisme.
Le premier tome d'une série de romans d'espionnage dont la suite est à découvrir dans Noces rouges à Andalus et Que la lumière se taise !
EXTRAIT
L’École des Langues et Civilisations de l’Orient ancien était une institution pour le moins peu commune. On pouvait y apprendre des langues tels que l’araméen, l’arabe, le copte, l’égyptien hiéroglyphique, et aussi l’éthiopien, l’hébreu biblique ou même le hittite. Pas étonnant dès lors que cet établissement de haut niveau fût surtout fréquenté par de futurs prêtres et par des étudiants voulant parfaire leurs connaissances des civilisations anciennes.
L’ELCOA proposait trois branches principales : le monde biblique, l’Orient chrétien et le Proche-Orient ancien. On y retrouvait surtout des chrétiens, et aussi quelques musulmans, bouddhistes, indouistes et des juifs. Dans cet univers multiculturel, les professeurs, quant à eux, étaient essentiellement issus du monde du clergé. Leur âge frôlait souvent celui de la retraite, voire le dépassait.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Pascal Riguelle est né à Namur (Belgique) en 1968. Ses romans se caractérisent par des sources documentées qui ajoutent un fond historique à un scénario très captivant. Nous faisant souvent voyager aux quatre coins de la planète, l’auteur aborde également des sujets graves et contemporains tel que le terrorisme international. Après « Hachichiyyin, la prophétie des assassins » paru en 2011 à la maison parisienne « la société des écrivains », il nous revient avec les mêmes personnages dans de nouvelles aventures. Le troisième et dernier tome de la trilogie devrait paraître prochainement et s’intitulera « l’or du mont Elbrouz ».
Zayane, jeune Syrienne, est chassée de son foyer suite à son apprentissage secret de la langue copte, et se réfugie en France avec l’aide de son frère
À quelque temps de là, Pierret, professeur de langues anciennes, est contacté par les services secrets qui souhaitent s’entourer d’intellectuels chevronnés afin de décrypter les messages envoyés par certains terroristes. Découvrant la liberté et l’indépendance, Zayane est loin de se douter que ses connaissances l’amèneront à participer, en compagnie de Pierret et du charismatique colonel Kleber, à une enquête explosive.
Parfaitement rythmé, ce roman d’espionnage entrelace les points de vue des divers protagonistes et livre une intrigue haletante et en phase avec nos peurs modernes.
Depuis les quatre coins du globe, nous plaçant tantôt du point de vue de héros passionnés, tantôt de celui de fanatiques sanguinaires, Pascal Riguelle développe un récit captivant et nerveux, fait de manipulations et rebondissements, et qui plonge dans l’histoire du terrorisme.
Le premier tome d'une série de romans d'espionnage dont la suite est à découvrir dans Noces rouges à Andalus et Que la lumière se taise !
EXTRAIT
L’École des Langues et Civilisations de l’Orient ancien était une institution pour le moins peu commune. On pouvait y apprendre des langues tels que l’araméen, l’arabe, le copte, l’égyptien hiéroglyphique, et aussi l’éthiopien, l’hébreu biblique ou même le hittite. Pas étonnant dès lors que cet établissement de haut niveau fût surtout fréquenté par de futurs prêtres et par des étudiants voulant parfaire leurs connaissances des civilisations anciennes.
L’ELCOA proposait trois branches principales : le monde biblique, l’Orient chrétien et le Proche-Orient ancien. On y retrouvait surtout des chrétiens, et aussi quelques musulmans, bouddhistes, indouistes et des juifs. Dans cet univers multiculturel, les professeurs, quant à eux, étaient essentiellement issus du monde du clergé. Leur âge frôlait souvent celui de la retraite, voire le dépassait.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Pascal Riguelle est né à Namur (Belgique) en 1968. Ses romans se caractérisent par des sources documentées qui ajoutent un fond historique à un scénario très captivant. Nous faisant souvent voyager aux quatre coins de la planète, l’auteur aborde également des sujets graves et contemporains tel que le terrorisme international. Après « Hachichiyyin, la prophétie des assassins » paru en 2011 à la maison parisienne « la société des écrivains », il nous revient avec les mêmes personnages dans de nouvelles aventures. Le troisième et dernier tome de la trilogie devrait paraître prochainement et s’intitulera « l’or du mont Elbrouz ».