Je connais mon visage

Chroniques numériques RDCiennes

Pour la première fois, un musée familial restitue l’histoire immédiate de la R.D. Congo grâce à des informations collectées sur internet en 2001.

C’ est l’année où le plus jeune chef d’Etat au monde prend la tête d’un grand pays déchiré par la 1ère  guerre mondiale africaine.

«  Je connais mon visage », dit-il…   C’est surtout un grand moment de l’Histoire, avec des vétérans de la politique congolaise convoqués à Bruxelles au procès de l’ assassinat de Lumumba, 40 années  auparavant. En cette année de la première éclipse  totale du millénaire, tout bouge et se met en place: enjeux, vocables, pillages, mines, société civile, communauté internationale; la  vie au quotidien, de la  littérature avec des récits et un poème… Mille et une facettes  de personnages, d’ un pays et d’ une époque à redécouvrir. Jusqu’ aux attentats de New York  qui donnent la mesure d’ une RDC dénombrant chaque jour autant de  victimes que la seule journée du 11 septembre 2001…

Propos de l’auteur :

«  Un musée familial dédié aux pionniers qui ont bâti les villes et les sociétés nouvelles en Afrique, peut en exprimer et en agrémenter l’Histoire. Côté visible, des galeries et des expositions. Côté invisible, il se constitue  des archives accessibles aux chercheurs. Pour preuve, ces chroniques provenant de courriels échangés en famille et avec des amis et qui restituent l’Histoire trop fraîchement méconnue d’un pays. Ponctuées par de savoureux récits.

Cet ouvrage sert aussi la promotion de la lecture de livres, avec des textes courts et une mise en page qui respectent le rythme du lecteur. »