John Holmes, sans doute le plus « grand » acteur pornographique américain, est né en 1944 sous le signe du désastre. Sans éducation solide, mais surtout dépourvu de toute morale et sans aucun sens éthique, ce sont bien ses 35 centimètres de talent et son instinct de la ruse qui vont dans un premier temps lui sauver la mise.
Holmes concentre dans sa biographie tout, absolument tout, ce que le « politiquement correct » d’aujourd’hui abjure et agonit : sexe débridé, prostitution, pornographie, usage et trafic de drogue, détournement de mineures, vols divers, crimes, complicité d’assassinat pour ne parler que des « péchés capitaux », auxquels il faut ajouter : mensonge, falsification, duplicité, trahison, escroqueries diverses, etc., etc. C’en est à ce point sidérant que Holmes, en plus d’être une véritable énigme, en devient presque attachant, tant il apparaît comme une victime déboussolée qui n’a jamais su à quel saint se vouer pour devenir homme. Il est mort du sida en 1988.
John Holmes, sans doute le plus « grand » acteur pornographique américain, est né en 1944 sous le signe du désastre. Sans éducation solide, mais surtout dépourvu de toute morale et sans aucun sens éthique, ce sont bien ses 35 centimètres de talent et son instinct de la ruse qui vont dans un premier temps lui sauver la mise.
Holmes concentre dans sa biographie tout, absolument tout, ce que le « politiquement correct » d’aujourd’hui abjure et agonit : sexe débridé, prostitution, pornographie, usage et trafic de drogue, détournement de mineures, vols divers, crimes, complicité d’assassinat pour ne parler que des « péchés capitaux », auxquels il faut ajouter : mensonge, falsification, duplicité, trahison, escroqueries diverses, etc., etc. C’en est à ce point sidérant que Holmes, en plus d’être une véritable énigme, en devient presque attachant, tant il apparaît comme une victime déboussolée qui n’a jamais su à quel saint se vouer pour devenir homme. Il est mort du sida en 1988.