Author: | kevin troisx | ISBN: | 1230001705454 |
Publisher: | Classé trois x | Publication: | June 4, 2017 |
Imprint: | Language: | French |
Author: | kevin troisx |
ISBN: | 1230001705454 |
Publisher: | Classé trois x |
Publication: | June 4, 2017 |
Imprint: | |
Language: | French |
Catégorie: gay homosexuelle porno érotique sexe homme
J’étais alors dans le train qui menait à Genève en partant de Paris, et il n’y avait personne dans le wagon dans lequel je me trouvais à part quelques anglais excentriques qui lisaient des revues pour adultes pendant que les autres dormaient; ils devaient être six… Alors mon regard se porta sur un jeune garçon d’à peu près mon âge, à la petite vingtaine d’années, qui allait monter dans le train, sac énorme au dos que portaient ses petits bras de mec bien foutu, barbe fine et cheveux bruns…
Le garçon que j’avais en vue entra soudainement, passa les anglais, arriva à la partie des places par deux dans lesquelles je me trouvais, et souleva son sac de toutes ses forces pour le ranger… Son t-shirt blanc moulait parfaitement son corps et laissa entrevoir la ligne de poils qui descend du nombril au paquet, et cela me donna une érection légère… Son jean bleu ciel lui donnait des airs de camionneur, alors qu’il avait un visage des plus raffinés que j’aie pu admirer. Entourée par les poils bruns et courts de sa barbe, une bouche parfaite m’apparaissait, qui me donnait envie dingue d’y mettre ma langue ou plus encore. Je commençais à le mater furieusement et il le remarqua, alors il me sourit, et mon cœur s’accéléra… J’étais du coup totalement perdu.L’excitation me tordait le ventre quand le train s’arrêta dans une autre gare, les anglais descendirent, et un blondinet entra, 18 ou 20 ans, grand, élancé, pourtant viril, bandant en somme.
C'est à ce moment que tout a derapé.
Extrait:"Je fus alors vite consolé quand mon beau brun me prit la bouche après avoir fermé la porte avec précaution… Sa barbe légère et travaillée avec précision et propreté me caressait le visage et sa langue chaude venait rencontrer tendrement la mienne. Il était doux comme un agneau et je bandais comme un fou, et lui aussi. Je lui mettais la main dans le pantalon pour tâter son petit cul ferme, et il me caressait le dos avec frénésie."
Extrait:"Nous nous retrouvâmes tous trois bouches à bouches, et chacun goûtait tendrement aux langues des deux autres, puis nous enlevâmes nos t-shirts et jeans et à travers nos caleçons ou boxers, nous nous massions le paquet… Le blond me caressait les couilles, ayant alors mis sa main dans mon boxer et je commençais à branler leurs deux queues en même temps que nos baisers continuaient…"
Extrait:"Et je léchais la queue du brun, remontant parfois à son gland rose et bombé, pendant que le blond avait trouvé un rangement en hauteur pour nos habits"
Extrait:"Je sentis la queue énorme du brun battre en moi puis éjaculer: il poussa un cri et il s’accrochait avec ses bras à mes épaules et me tâtait le ventre et les pectoraux (que j’avais en jolie forme) pendant que le blond me caressait les cuisses puis les couilles en même temps qu’il jouait tendrement et fortement avec ma queue encore chaude et tendue à son maximum, et il devait alors se reculer un peu… "
Catégorie: gay homosexuelle porno érotique sexe homme
J’étais alors dans le train qui menait à Genève en partant de Paris, et il n’y avait personne dans le wagon dans lequel je me trouvais à part quelques anglais excentriques qui lisaient des revues pour adultes pendant que les autres dormaient; ils devaient être six… Alors mon regard se porta sur un jeune garçon d’à peu près mon âge, à la petite vingtaine d’années, qui allait monter dans le train, sac énorme au dos que portaient ses petits bras de mec bien foutu, barbe fine et cheveux bruns…
Le garçon que j’avais en vue entra soudainement, passa les anglais, arriva à la partie des places par deux dans lesquelles je me trouvais, et souleva son sac de toutes ses forces pour le ranger… Son t-shirt blanc moulait parfaitement son corps et laissa entrevoir la ligne de poils qui descend du nombril au paquet, et cela me donna une érection légère… Son jean bleu ciel lui donnait des airs de camionneur, alors qu’il avait un visage des plus raffinés que j’aie pu admirer. Entourée par les poils bruns et courts de sa barbe, une bouche parfaite m’apparaissait, qui me donnait envie dingue d’y mettre ma langue ou plus encore. Je commençais à le mater furieusement et il le remarqua, alors il me sourit, et mon cœur s’accéléra… J’étais du coup totalement perdu.L’excitation me tordait le ventre quand le train s’arrêta dans une autre gare, les anglais descendirent, et un blondinet entra, 18 ou 20 ans, grand, élancé, pourtant viril, bandant en somme.
C'est à ce moment que tout a derapé.
Extrait:"Je fus alors vite consolé quand mon beau brun me prit la bouche après avoir fermé la porte avec précaution… Sa barbe légère et travaillée avec précision et propreté me caressait le visage et sa langue chaude venait rencontrer tendrement la mienne. Il était doux comme un agneau et je bandais comme un fou, et lui aussi. Je lui mettais la main dans le pantalon pour tâter son petit cul ferme, et il me caressait le dos avec frénésie."
Extrait:"Nous nous retrouvâmes tous trois bouches à bouches, et chacun goûtait tendrement aux langues des deux autres, puis nous enlevâmes nos t-shirts et jeans et à travers nos caleçons ou boxers, nous nous massions le paquet… Le blond me caressait les couilles, ayant alors mis sa main dans mon boxer et je commençais à branler leurs deux queues en même temps que nos baisers continuaient…"
Extrait:"Et je léchais la queue du brun, remontant parfois à son gland rose et bombé, pendant que le blond avait trouvé un rangement en hauteur pour nos habits"
Extrait:"Je sentis la queue énorme du brun battre en moi puis éjaculer: il poussa un cri et il s’accrochait avec ses bras à mes épaules et me tâtait le ventre et les pectoraux (que j’avais en jolie forme) pendant que le blond me caressait les cuisses puis les couilles en même temps qu’il jouait tendrement et fortement avec ma queue encore chaude et tendue à son maximum, et il devait alors se reculer un peu… "