La face cachée des représentants de la religion catholique
L’histoire des hauts dignitaires de l’Église fourmille de meurtres, d’actes luxurieux, de faits plus scabreux les uns que les autres, le tout donnant à penser que ceux qui se devaient, par leur élection, de représenter Dieu sur terre, l’ont parfois mal fait.
Ce livre présente ces turpitudes bien terrestres que souvent les chroniqueurs du temps ont essayé de dissimuler.
Saviez-vous que...
- Étienne VI fit déterrer son prédécesseur Formose pour juger son cadavre, lié à une chaise dans la vénérable église Saint-Jean-de-Latran ?
- Sergius III, pour monter sur le trône de saint Pierre, n’hésita pas à faire étrangler ses deux prédécesseurs et fut en son temps qualifié de « source d’infinies abominations envers les femmes de petite vertu, l’esclave de tous les vices et le plus diabolique des hommes » ?
- Sixte VI, homosexuel notoire, fit élever à la dignité cardinalice son neveu, âgé de 17 ans ?
- Innocent III ira jusqu’à reconnaître ses enfants illégitimes et organisera même leurs noces au Vatican ?
- Alexandre VI, entre autres choses, organisa au Vatican, pour son bon plaisir de « saint Père », une compétition lubrique réunissant cinquante prostituées nues, ses enfants devant arbitrer les prouesses viriles des participants ?
Un livre détonnant !
EXTRAIT
La mort du malheureux pape ne sera pas la seule qui éclaboussera les finances du Saint-Siège, avec celle, le 17 juin 1892, du directeur de la Banco Ambrosiano, Roberto Calvi, surnommé le banquier de Dieu et retrouvé pendu sous le Blackfriars Bridge (le pont des Moines noirs), les poches remplies de cailloux et de 15 000 dollars en liquide.
Comme on le découvrira dans les pages qui suivent, l’histoire de la religion catholique et de ses dirigeants est pleine de bruit et de fureur. On y retrouvera meurtres, simonie, népotisme, sexe, mensonges et faux témoignages.
Rien que de bien naturel car en conformité avec la nature humaine, si ce n’est que ses acteurs se réclamaient d’un dieu infiniment juste et bon.
La face cachée des représentants de la religion catholique
L’histoire des hauts dignitaires de l’Église fourmille de meurtres, d’actes luxurieux, de faits plus scabreux les uns que les autres, le tout donnant à penser que ceux qui se devaient, par leur élection, de représenter Dieu sur terre, l’ont parfois mal fait.
Ce livre présente ces turpitudes bien terrestres que souvent les chroniqueurs du temps ont essayé de dissimuler.
Saviez-vous que...
- Étienne VI fit déterrer son prédécesseur Formose pour juger son cadavre, lié à une chaise dans la vénérable église Saint-Jean-de-Latran ?
- Sergius III, pour monter sur le trône de saint Pierre, n’hésita pas à faire étrangler ses deux prédécesseurs et fut en son temps qualifié de « source d’infinies abominations envers les femmes de petite vertu, l’esclave de tous les vices et le plus diabolique des hommes » ?
- Sixte VI, homosexuel notoire, fit élever à la dignité cardinalice son neveu, âgé de 17 ans ?
- Innocent III ira jusqu’à reconnaître ses enfants illégitimes et organisera même leurs noces au Vatican ?
- Alexandre VI, entre autres choses, organisa au Vatican, pour son bon plaisir de « saint Père », une compétition lubrique réunissant cinquante prostituées nues, ses enfants devant arbitrer les prouesses viriles des participants ?
Un livre détonnant !
EXTRAIT
La mort du malheureux pape ne sera pas la seule qui éclaboussera les finances du Saint-Siège, avec celle, le 17 juin 1892, du directeur de la Banco Ambrosiano, Roberto Calvi, surnommé le banquier de Dieu et retrouvé pendu sous le Blackfriars Bridge (le pont des Moines noirs), les poches remplies de cailloux et de 15 000 dollars en liquide.
Comme on le découvrira dans les pages qui suivent, l’histoire de la religion catholique et de ses dirigeants est pleine de bruit et de fureur. On y retrouvera meurtres, simonie, népotisme, sexe, mensonges et faux témoignages.
Rien que de bien naturel car en conformité avec la nature humaine, si ce n’est que ses acteurs se réclamaient d’un dieu infiniment juste et bon.