Dany Laferrière s’avoue trop ambitieux pour n’appartenir qu’à un seul pays et, comme pour souligner son côté universel, c’est une universitaire autrichienne qui signe ici la première étude approfondie qui lui est consacrée. Ursula Mathis-Moser aborde les romans de l’« Autobiographie américaine » sous le thème général de la dérive spatiale (de la petite ville à la métropole) et temporelle (les divers temps de la narration). Elle démêle les jeux de l’intertextualité et de l’autofiction qui sous-tendent ces récits. Référence désormais incontournable des études laferriennes, ce livre propose aussi une esquisse biographique et une bibliographie exhaustive.
Dany Laferrière s’avoue trop ambitieux pour n’appartenir qu’à un seul pays et, comme pour souligner son côté universel, c’est une universitaire autrichienne qui signe ici la première étude approfondie qui lui est consacrée. Ursula Mathis-Moser aborde les romans de l’« Autobiographie américaine » sous le thème général de la dérive spatiale (de la petite ville à la métropole) et temporelle (les divers temps de la narration). Elle démêle les jeux de l’intertextualité et de l’autofiction qui sous-tendent ces récits. Référence désormais incontournable des études laferriennes, ce livre propose aussi une esquisse biographique et une bibliographie exhaustive.