Author: | Jean Prieur | ISBN: | 9782402035095 |
Publisher: | FeniXX réédition numérique | Publication: | January 1, 1986 |
Imprint: | FeniXX réédition numérique (Ouest-France) | Language: | French |
Author: | Jean Prieur |
ISBN: | 9782402035095 |
Publisher: | FeniXX réédition numérique |
Publication: | January 1, 1986 |
Imprint: | FeniXX réédition numérique (Ouest-France) |
Language: | French |
La mort a toujours préoccupé l’homme. Dans la Rome antique, les religions n’imposent pas de dogme concernant l’au-delà. Les croyances relatives au sort de l’homme après la mort sont incertaines : anéantissement total, engourdissement dans l’inconscience, accès à une vie nouvelle. Mais le grand départ est toujours célébré par des rites et des cérémonies qui rassurent ceux qui restent. Le souvenir du défunt se perpétue grâce aux monuments qui bordent les routes ; même dans les classes les plus modestes, on cherche à préserver les morts de l’anonymat. Ce sont principalement les textes littéraires et les documents de l’art funéraire qui nous renseignent sur ce que l’antiquité romaine pensait de la mort. Des fouilles récentes, qui ont mis au jour, dans les diverses régions occupées par les Romains, de nombreuses tombes et parfois des nécropoles entières, ont renouvelé nos connaissances ; des monographies ont fait le point de ces découvertes. Le présent ouvrage veut mettre à la portée d’un large public les résultats de ces recherches en quatre chapitres abondamment illustrés, qui traitent des rites, des monuments, de l’au-delà et du symbolisme funéraire.
La mort a toujours préoccupé l’homme. Dans la Rome antique, les religions n’imposent pas de dogme concernant l’au-delà. Les croyances relatives au sort de l’homme après la mort sont incertaines : anéantissement total, engourdissement dans l’inconscience, accès à une vie nouvelle. Mais le grand départ est toujours célébré par des rites et des cérémonies qui rassurent ceux qui restent. Le souvenir du défunt se perpétue grâce aux monuments qui bordent les routes ; même dans les classes les plus modestes, on cherche à préserver les morts de l’anonymat. Ce sont principalement les textes littéraires et les documents de l’art funéraire qui nous renseignent sur ce que l’antiquité romaine pensait de la mort. Des fouilles récentes, qui ont mis au jour, dans les diverses régions occupées par les Romains, de nombreuses tombes et parfois des nécropoles entières, ont renouvelé nos connaissances ; des monographies ont fait le point de ces découvertes. Le présent ouvrage veut mettre à la portée d’un large public les résultats de ces recherches en quatre chapitres abondamment illustrés, qui traitent des rites, des monuments, de l’au-delà et du symbolisme funéraire.