Author: | octave mirbeau | ISBN: | 1230001354720 |
Publisher: | patrick goualard | Publication: | September 21, 2016 |
Imprint: | Language: | French |
Author: | octave mirbeau |
ISBN: | 1230001354720 |
Publisher: | patrick goualard |
Publication: | September 21, 2016 |
Imprint: | |
Language: | French |
Ce recueil, publié par la veuve d'Octave Mirbeau, est composé de 23 contes ou nouvelles que l'on retrouvera par la suite dans le livre "Contes cruels" qui en réunit environ 150.
Ces contes paraissaient dans les quotidiens, et représentaient pour l'auteur une production "alimentaire", le public appréciant le genre dans les journaux. Mais loin de copier les parutions de l'époque, il préférait déranger par ces histoires parfois très cruelles, qui montraient la face cachée de l'homme et la misère humaine.
Des morts, il y en a, de mort naturelle ou presque, ou sauvagement assassinés. Ce qui frappe, c'est que dans certaines histoires, les choses se passent de façon toute naturelle, comme s'il était normal d'éliminer celle ou celui qui gêne. D'autres évoquent des stratagèmes dignes des criminels les plus futés. La tromperie, la perfidie, la malhonnêteté, les ravages de la rumeur, tous ces charmants aspects y sont abordés, n'épargnant aucune couche sociale ni fonction.
J'ai trouvé le tout assez inégal, certains contes/nouvelles étant meilleurs que d'autres, plus approfondis, plus travaillés, de quoi penser effectivement qu'Octave Mirbeau n'avait pas toujours le coeur à l'ouvrage et écrivait par nécessité. J'ai d'ailleurs retrouvé l'écrivain que j'aime dans les histoires les plus longues, comme "Mémoires pour un avocat" ou "Les souvenirs d'un pauvre diable".
Ce recueil, publié par la veuve d'Octave Mirbeau, est composé de 23 contes ou nouvelles que l'on retrouvera par la suite dans le livre "Contes cruels" qui en réunit environ 150.
Ces contes paraissaient dans les quotidiens, et représentaient pour l'auteur une production "alimentaire", le public appréciant le genre dans les journaux. Mais loin de copier les parutions de l'époque, il préférait déranger par ces histoires parfois très cruelles, qui montraient la face cachée de l'homme et la misère humaine.
Des morts, il y en a, de mort naturelle ou presque, ou sauvagement assassinés. Ce qui frappe, c'est que dans certaines histoires, les choses se passent de façon toute naturelle, comme s'il était normal d'éliminer celle ou celui qui gêne. D'autres évoquent des stratagèmes dignes des criminels les plus futés. La tromperie, la perfidie, la malhonnêteté, les ravages de la rumeur, tous ces charmants aspects y sont abordés, n'épargnant aucune couche sociale ni fonction.
J'ai trouvé le tout assez inégal, certains contes/nouvelles étant meilleurs que d'autres, plus approfondis, plus travaillés, de quoi penser effectivement qu'Octave Mirbeau n'avait pas toujours le coeur à l'ouvrage et écrivait par nécessité. J'ai d'ailleurs retrouvé l'écrivain que j'aime dans les histoires les plus longues, comme "Mémoires pour un avocat" ou "Les souvenirs d'un pauvre diable".