Author: | William Theaux | ISBN: | 9781476077666 |
Publisher: | William Theaux | Publication: | March 28, 2012 |
Imprint: | Smashwords Edition | Language: | French |
Author: | William Theaux |
ISBN: | 9781476077666 |
Publisher: | William Theaux |
Publication: | March 28, 2012 |
Imprint: | Smashwords Edition |
Language: | French |
Ce livre réalise l’étape qui succède au ‘soubassement de la lettre’. Ce soubassement a été écrit dans Philame (le livre précédent ; 1/4). L’âme hors constitue le second d’une série de quatre (Latresse, 3/4 ; Ordonc, 4/4). La lettre a pour soubassement un signe chiffré. Pour l’écrire, Philame a montré que les lettres étaient comme des ombres projetées. Tous les signes ne sont peut-être pas des ombres projetées mais lorsqu’une ombre projetée est chiffrée, elle est un signe qui se prend pour une lettre. Le sujet dans cette littérature, qui a ainsi pris ce signe (pris pour une lettre), est désigné dans Philame du terme de ‘singe’.
Le fait que l’observateur d’une ombre chiffrée (cette ombre qui se laisse prendre pour une lettre) singe le signe qu’il observe, est un fait de mimétisme. Il entre dans la catégorie de l’imitation – puis éventuellement procède par la cybernétique (qui l’appuiera du mensonge). Mais retenu dans cette catégorie, il tient l’espace d’un transitivisme. Le temps de cet espace est la stase décrite dans ce qu’on appelle « le mythe de la caverne ». Le mythe de la Caverne est en réalité un modèle politique (celui de la République, décrite par Platon). Il est connu que ce modèle sociologique présente la vertu d’également figurer un modèle psychologique des individus de cette sociologie. Ainsi les ombres de la caverne ont été mentionnées dans Philame pour fournir la raison des ombres chiffrées.
Le singe peut singer une ombre qui ne soit pas chiffrée. Dans ce cas, c’est un être humain (qui peut par ailleurs faire le singe). C’est à ce moment que se constitue l’âme hors. L’âme qu’on entend hors du corps est un paradoxe puisque sa définition est d’être propre au corps (ses attributs sont identiques à ceux du génome ADN). Si elle n’est qu’hors, autrement dit si elle est hors du corps, la fondation paranoïaque de la connaissance humaine en fait la mort (où il s’entend que la mort est une invention).
Cette formation délirante que la mort représente dans l’histoire humaine peut-être l’objet d’une thérapie. Ce soin se schématise sur le modèle de la Caverne, notamment instrumenté aux temps modernes où Lacan l’a dénommé Modèle Optique. Sur cette base il procède comme une méditation. La psychanalyse est une variété de la pratique généralement nommée ‘méditation’ (particulière d’être collective et au minimum duelle). Une méditation compte toujours un part nommée ‘concentration’ (fixation de l’attention). Dans le cas de la psychanalyse cette concentration porte sur l’ombre susdite "âme hors". Cette ombre qui n’est pas chiffrée est un signe – elle n’est pas une lettre mais se distingue comme un trait (éventuellement cité ‘unaire’). La psychanalyse l’emploie comme signe chiffré. De ce point de vue la médecine qui connaît la « méditation sur un signe chiffré » affirme que la psychanalyse est une médication.
Cette étape (2/4) décrit donc ce qui se pratique à la suite de la conception de l’écriture. Scénographiquement, la psychanalyse est une méditation dans le Modèle optique. Elle est mise en activité avant qu’on sache pourquoi (puisque son objet est refoulé) ; mais elle l’est dès qu’on sait comment (dès que l’on sait comment écrire). L’étape suivante (3/4) montre ses effets. DWT.Ed.20120328
Ce livre réalise l’étape qui succède au ‘soubassement de la lettre’. Ce soubassement a été écrit dans Philame (le livre précédent ; 1/4). L’âme hors constitue le second d’une série de quatre (Latresse, 3/4 ; Ordonc, 4/4). La lettre a pour soubassement un signe chiffré. Pour l’écrire, Philame a montré que les lettres étaient comme des ombres projetées. Tous les signes ne sont peut-être pas des ombres projetées mais lorsqu’une ombre projetée est chiffrée, elle est un signe qui se prend pour une lettre. Le sujet dans cette littérature, qui a ainsi pris ce signe (pris pour une lettre), est désigné dans Philame du terme de ‘singe’.
Le fait que l’observateur d’une ombre chiffrée (cette ombre qui se laisse prendre pour une lettre) singe le signe qu’il observe, est un fait de mimétisme. Il entre dans la catégorie de l’imitation – puis éventuellement procède par la cybernétique (qui l’appuiera du mensonge). Mais retenu dans cette catégorie, il tient l’espace d’un transitivisme. Le temps de cet espace est la stase décrite dans ce qu’on appelle « le mythe de la caverne ». Le mythe de la Caverne est en réalité un modèle politique (celui de la République, décrite par Platon). Il est connu que ce modèle sociologique présente la vertu d’également figurer un modèle psychologique des individus de cette sociologie. Ainsi les ombres de la caverne ont été mentionnées dans Philame pour fournir la raison des ombres chiffrées.
Le singe peut singer une ombre qui ne soit pas chiffrée. Dans ce cas, c’est un être humain (qui peut par ailleurs faire le singe). C’est à ce moment que se constitue l’âme hors. L’âme qu’on entend hors du corps est un paradoxe puisque sa définition est d’être propre au corps (ses attributs sont identiques à ceux du génome ADN). Si elle n’est qu’hors, autrement dit si elle est hors du corps, la fondation paranoïaque de la connaissance humaine en fait la mort (où il s’entend que la mort est une invention).
Cette formation délirante que la mort représente dans l’histoire humaine peut-être l’objet d’une thérapie. Ce soin se schématise sur le modèle de la Caverne, notamment instrumenté aux temps modernes où Lacan l’a dénommé Modèle Optique. Sur cette base il procède comme une méditation. La psychanalyse est une variété de la pratique généralement nommée ‘méditation’ (particulière d’être collective et au minimum duelle). Une méditation compte toujours un part nommée ‘concentration’ (fixation de l’attention). Dans le cas de la psychanalyse cette concentration porte sur l’ombre susdite "âme hors". Cette ombre qui n’est pas chiffrée est un signe – elle n’est pas une lettre mais se distingue comme un trait (éventuellement cité ‘unaire’). La psychanalyse l’emploie comme signe chiffré. De ce point de vue la médecine qui connaît la « méditation sur un signe chiffré » affirme que la psychanalyse est une médication.
Cette étape (2/4) décrit donc ce qui se pratique à la suite de la conception de l’écriture. Scénographiquement, la psychanalyse est une méditation dans le Modèle optique. Elle est mise en activité avant qu’on sache pourquoi (puisque son objet est refoulé) ; mais elle l’est dès qu’on sait comment (dès que l’on sait comment écrire). L’étape suivante (3/4) montre ses effets. DWT.Ed.20120328