Author: | Bertrand VERGELY | ISBN: | 9782750908942 |
Publisher: | Place des éditeurs | Publication: | November 27, 2014 |
Imprint: | Presses de la Renaissance | Language: | French |
Author: | Bertrand VERGELY |
ISBN: | 9782750908942 |
Publisher: | Place des éditeurs |
Publication: | November 27, 2014 |
Imprint: | Presses de la Renaissance |
Language: | French |
Si Dieu existe, comment peut-il supporter la souffrance des enfants ? Bertrand Vergely part de cette question cruciale, que nous nous posons tous lorsque la souffrance et le mal nous touchent de près, pour réfléchir et méditer sur ce silence de Dieu.
Si Dieu existe, comment peut-Il tolérer le mal régnant sur terre ? Ce cri d'Ivan Karamazov, le héros de Dostoïevski, est celui d'Albert Camus. C'est aussi le nôtre parfois. S'il nous semble juste qu'un coupable paie et souffre pour ses propres fautes, que dire de la souffrance de l'innocent ? Quelle faute a-t-il commise ? Quelle faute doit-il payer ? Or certaines " sagesses " n'hésitent pas à justifier cette souffrance et à prôner la résignation. Ils innocentent Dieu en culpabilisant l'homme. Limites de la sagesse. Le cri du révolté est là pour rappeler le scandale. Et l'homme moderne se révolte à juste titre contre le fait de ne pas se révolter. Mais il le fait jusqu'à accuser Dieu de non-assistance à humanité en danger, sans voir que tenir Dieu pour absent ou indifférent conduit au meurtre des innocents. Limites de la révolte et du désespoir. Cet essai invite à changer de perspective. La vraie sagesse et la vraie révolte sont autres. Face au mal, on accuse souvent sans agir. Que l'on cherche à le justifier ou que l'on désespère, il se multiplie ; que l'on vive malgré lui sans le justifier ni désespérer, il recule. Quand on le comprend, Dieu n'est plus un problème pour l'homme, ni l'homme pour Dieu. Le silence de Dieu dévoile un homme qui ne parle pas encore.
Si Dieu existe, comment peut-il supporter la souffrance des enfants ? Bertrand Vergely part de cette question cruciale, que nous nous posons tous lorsque la souffrance et le mal nous touchent de près, pour réfléchir et méditer sur ce silence de Dieu.
Si Dieu existe, comment peut-Il tolérer le mal régnant sur terre ? Ce cri d'Ivan Karamazov, le héros de Dostoïevski, est celui d'Albert Camus. C'est aussi le nôtre parfois. S'il nous semble juste qu'un coupable paie et souffre pour ses propres fautes, que dire de la souffrance de l'innocent ? Quelle faute a-t-il commise ? Quelle faute doit-il payer ? Or certaines " sagesses " n'hésitent pas à justifier cette souffrance et à prôner la résignation. Ils innocentent Dieu en culpabilisant l'homme. Limites de la sagesse. Le cri du révolté est là pour rappeler le scandale. Et l'homme moderne se révolte à juste titre contre le fait de ne pas se révolter. Mais il le fait jusqu'à accuser Dieu de non-assistance à humanité en danger, sans voir que tenir Dieu pour absent ou indifférent conduit au meurtre des innocents. Limites de la révolte et du désespoir. Cet essai invite à changer de perspective. La vraie sagesse et la vraie révolte sont autres. Face au mal, on accuse souvent sans agir. Que l'on cherche à le justifier ou que l'on désespère, il se multiplie ; que l'on vive malgré lui sans le justifier ni désespérer, il recule. Quand on le comprend, Dieu n'est plus un problème pour l'homme, ni l'homme pour Dieu. Le silence de Dieu dévoile un homme qui ne parle pas encore.