Author: | Tristan Corbière | ISBN: | 1230002622019 |
Publisher: | Librairie du XIXe siècle (Paris) Glady frères (Paris) 1873 | Publication: | October 5, 2018 |
Imprint: | Language: | French |
Author: | Tristan Corbière |
ISBN: | 1230002622019 |
Publisher: | Librairie du XIXe siècle (Paris) Glady frères (Paris) 1873 |
Publication: | October 5, 2018 |
Imprint: | |
Language: | French |
Les Amours jaunes est l'unique recueil de poésie du « poète maudit » Tristan Corbière, publié en 1873 chez Glady frères éditeurs à Paris, et comprenant la quasi-totalité de son œuvre poétique. Composé de 101 poèmes de tailles et de formes très diversifiées, il est publié à compte d'auteur deux ans avant la mort du poète, à l'âge de 29 ans, et passe totalement inaperçu à l'époque.
Structure du recueil
Le recueil est composé de 7 parties : "Ça" (3 poèmes), "Les Amours jaunes" (24 poèmes), "Sérénade des sérénades" (14 poèmes), "Raccrocs" (21 poèmes), "Armor" (7 poèmes), "Gens de mer" (17 poèmes), et "Rondels pour après" (6 poèmes).
Le recueil s'ouvre et se ferme sur deux poèmes éponymes, "À Marcelle", dédicacés chacun à l'unique muse du poète, Armida-Josefina Cuchiani, qu'il se complaît à appeler sans raison apparente Marcelle tout au long des Amours jaunes. N'appartenant à aucune partie, ces deux pièces sont une variante sur La Cigale et la Fourmi de Jean de La Fontaine, pièce commençant également les Fables.
Les Amours jaunes est l'unique recueil de poésie du « poète maudit » Tristan Corbière, publié en 1873 chez Glady frères éditeurs à Paris, et comprenant la quasi-totalité de son œuvre poétique. Composé de 101 poèmes de tailles et de formes très diversifiées, il est publié à compte d'auteur deux ans avant la mort du poète, à l'âge de 29 ans, et passe totalement inaperçu à l'époque.
Structure du recueil
Le recueil est composé de 7 parties : "Ça" (3 poèmes), "Les Amours jaunes" (24 poèmes), "Sérénade des sérénades" (14 poèmes), "Raccrocs" (21 poèmes), "Armor" (7 poèmes), "Gens de mer" (17 poèmes), et "Rondels pour après" (6 poèmes).
Le recueil s'ouvre et se ferme sur deux poèmes éponymes, "À Marcelle", dédicacés chacun à l'unique muse du poète, Armida-Josefina Cuchiani, qu'il se complaît à appeler sans raison apparente Marcelle tout au long des Amours jaunes. N'appartenant à aucune partie, ces deux pièces sont une variante sur La Cigale et la Fourmi de Jean de La Fontaine, pièce commençant également les Fables.