Author: | George Sand | ISBN: | 1230003368725 |
Publisher: | Michel Lévy frères, Paris, 1866 | Publication: | August 16, 2019 |
Imprint: | Language: | French |
Author: | George Sand |
ISBN: | 1230003368725 |
Publisher: | Michel Lévy frères, Paris, 1866 |
Publication: | August 16, 2019 |
Imprint: | |
Language: | French |
Les Don Juan de village
Le Lis du Japon - Michel Lévy frères, Paris, 1866
Aldo le rimeur - J. Hetzel , 1853
Une conspiration en 1537 - [S.l.], 1921
Cet essai dramatique, que George Sand ne prenait pas très au sérieux, a été tiré d’un événement historique rapporté par Benedetto Varchi dans son “Histoire de Florence” : le 6 janvier 1537, Alexandre de Médicis, duc de Florence et tyran, fut assassiné par son cousin Lorenzo de Médicis. Dans l’oeuvre de George Sand, Lorenzo, qui s’est rapproché du duc dans le but de l’abattre et d’interrompre ainsi la tyrannie, a réalisé que la mort du duc ne provoquera pas un changement de régime (George Sand a, elle-même, douloureusement ressenti l’échec de la Révolution de 1830). Il est totalement désabusé et déçu par l’humanité toute entière. Il tue cependant le duc lorsque ce dernier a la prétention d’acheter sa soeur, Catterina. George Sand ne publia jamais cette oeuvre et en fit don à Alfred de Musset qui s’en servit pour écrire “Lorenzaccio”.
Cosima - Michel Lévy frères, Paris, 1866
Cosima est l’épouse d’Alvire, un bourgeois et négociant de Florence. Elle passe ses journées à s’ennuyer terriblement lorsqu’un riche Vénitien, Ordonio Éliséi, se met à la courtiser. Elle résiste, mais peu à peu tombe sous le charme de cet habile séducteur. Lorsque l’on croit qu’Ordonio a été assassiné, Alvire est arrêté. Mais c’est en réalité le serviteur d’Ordonio, qui se déguisait à la demande de son maître, qui a été tué. Ordonio réapparaît : Alvire, qui échappe ainsi à la sentence de mort, lui ouvre sa maison, pour lui marquer sa reconnaissance. Cosima est amoureuse mais fidèle à son époux. Ordonio utilise toutes les ruses pour la convaincre de partir avec lui. La pièce s’achève tragiquement avec le suicide de Cosima.
L’Autre - Michel Lévy frères, Paris, 1870
Un bienfait n’est jamais perdu - Paris : Michel-Lévy frères, 1872
Le jeudi 31 mars 1814, la population de Paris s’entassait sur le passage d’un étrange cortège. Le tsar Alexandre, ayant à sa droite le roi de Prusse et à sa gauche le prince de Schwarzenberg, représentant de l’empereur d’Autriche, s’avançait lentement à cheval, suivi d’un brillant état-major et d’une escorte de cinquante mille hommes d’élite, à travers le faubourg Saint-Martin. Le tsar était calme en apparence. Il jouait un grand rôle, celui de vainqueur magnanime, et il le jouait bien. Son escorte était grave, ses soldats majestueux. La foule était muette.
Les Don Juan de village
Le Lis du Japon - Michel Lévy frères, Paris, 1866
Aldo le rimeur - J. Hetzel , 1853
Une conspiration en 1537 - [S.l.], 1921
Cet essai dramatique, que George Sand ne prenait pas très au sérieux, a été tiré d’un événement historique rapporté par Benedetto Varchi dans son “Histoire de Florence” : le 6 janvier 1537, Alexandre de Médicis, duc de Florence et tyran, fut assassiné par son cousin Lorenzo de Médicis. Dans l’oeuvre de George Sand, Lorenzo, qui s’est rapproché du duc dans le but de l’abattre et d’interrompre ainsi la tyrannie, a réalisé que la mort du duc ne provoquera pas un changement de régime (George Sand a, elle-même, douloureusement ressenti l’échec de la Révolution de 1830). Il est totalement désabusé et déçu par l’humanité toute entière. Il tue cependant le duc lorsque ce dernier a la prétention d’acheter sa soeur, Catterina. George Sand ne publia jamais cette oeuvre et en fit don à Alfred de Musset qui s’en servit pour écrire “Lorenzaccio”.
Cosima - Michel Lévy frères, Paris, 1866
Cosima est l’épouse d’Alvire, un bourgeois et négociant de Florence. Elle passe ses journées à s’ennuyer terriblement lorsqu’un riche Vénitien, Ordonio Éliséi, se met à la courtiser. Elle résiste, mais peu à peu tombe sous le charme de cet habile séducteur. Lorsque l’on croit qu’Ordonio a été assassiné, Alvire est arrêté. Mais c’est en réalité le serviteur d’Ordonio, qui se déguisait à la demande de son maître, qui a été tué. Ordonio réapparaît : Alvire, qui échappe ainsi à la sentence de mort, lui ouvre sa maison, pour lui marquer sa reconnaissance. Cosima est amoureuse mais fidèle à son époux. Ordonio utilise toutes les ruses pour la convaincre de partir avec lui. La pièce s’achève tragiquement avec le suicide de Cosima.
L’Autre - Michel Lévy frères, Paris, 1870
Un bienfait n’est jamais perdu - Paris : Michel-Lévy frères, 1872
Le jeudi 31 mars 1814, la population de Paris s’entassait sur le passage d’un étrange cortège. Le tsar Alexandre, ayant à sa droite le roi de Prusse et à sa gauche le prince de Schwarzenberg, représentant de l’empereur d’Autriche, s’avançait lentement à cheval, suivi d’un brillant état-major et d’une escorte de cinquante mille hommes d’élite, à travers le faubourg Saint-Martin. Le tsar était calme en apparence. Il jouait un grand rôle, celui de vainqueur magnanime, et il le jouait bien. Son escorte était grave, ses soldats majestueux. La foule était muette.