Les poilus canadiens

 Beaucoup de détails historiques, tactiques, anecdotiques, sont oubliés lors d’un conflit à grande envergure, volontairement…. Ou pas d’ailleurs. 

Dans tous les cas, le résultat est là, pleins de choses nous échappent, aux connaisseurs, mais aussi au personnage lambda.
Le connaisseur creuse, cherche, il sait qu’il ne sait pas. Le personnage lambda lui se laisse bercer par le ronron alzheimergeant du professeur d’histoire.
Je n’ai rien contre les professeurs d’histoire, au contraire, ils ont un rôle a joué et pas un petit, rôle de médecin qui soigne la mémoire oublieuse des politiques soucieux de leurs intérêts, et non ceux du peuple, qui en maintes circonstances sert de chair à canon dans un conflit dont ils ne connaissent pas ni les tenants ni les aboutissants.
Ainsi dans le sujet qui nous intéresse ici, c’est un détail de l’histoire diront certains, mais un détail dans l’histoire, c’est autre chose. 

L’histoire que vous allez lire dans les lignes qui suivent n’est pas une histoire, mais un récit, un récit historique, le récit du 22e bataillon canadien-français pendant la Première Guerre mondiale est en particulier la victoire remportée le 15 septembre 1916 à Courcelette. 

Le « devoir de mémoire » comme souvent évoqué, c’est aussi de raconter les détails de l’histoire méconnus.

Le récit du 22e Bataillon Canadien-Français en est un !

Historiquement Votre, Dany-Ghost