Author: | André Bergeron | ISBN: | 9782402166317 |
Publisher: | FeniXX réédition numérique | Publication: | January 1, 1975 |
Imprint: | FeniXX réédition numérique (Albin Michel) | Language: | French |
Author: | André Bergeron |
ISBN: | 9782402166317 |
Publisher: | FeniXX réédition numérique |
Publication: | January 1, 1975 |
Imprint: | FeniXX réédition numérique (Albin Michel) |
Language: | French |
Dans cette Lettre ouverte à un syndiqué, André Bergeron expose ce qu’est et ce que veut la Confédération Force Ouvrière. Secrétaire Général de cette organisation depuis plus de onze ans, il s’est affirmé comme leader du syndicalisme réformiste. La Lettre ouverte à un syndiqué tend à démontrer l’efficacité d’une action qui, jour après jour, a conduit à une réelle amélioration de la condition ouvrière. André Bergeron estime que cette action n’aura jamais de fin, en tout cas tant que la démocratie existera et, par conséquent, le syndicalisme libre. Farouchement hostile à toutes les formes d’oppression, le Secrétaire Général de FO ne cesse d’affirmer son attachement à l’indépendance syndicale. Il est convaincu que le renforcement de l’organisation de l’économie sera le trait dominant de l’évolution des sociétés dans les années à venir. Il la considère comme non seulement inévitable mais nécessaire. Cependant, très conscient que le renforcement de l’organisation de l’économie entraînera forcément des contraintes, il voit dans le respect de son indépendance le moyen de faire du syndicalisme un contrepoids aux excès que peut engendrer la mise en œuvre des systèmes planifiés. Fier d’être un réformiste, il répond à ceux qui le lui reprochent : « Les révolutionnaires parlent de révolution, et nous, nous la faisons ! » Aux patrons qui se plaignent de la permanence de la revendication, il répond qu’il en est de l’action syndicale comme de la vie. Tout change, tout bouge. La vérité d’aujourd’hui n’est plus celle de demain. La révolution industrielle a entraîné de profonds bouleversements dans les modes de vie. Des besoins nouveaux naissent, qu’il faut satisfaire. Animé d’idées, de projets et d’espoirs, l’ouvrage d’André Bergeron est un document vivant, émaillé d’anecdotes, le témoignage d’un homme dont toute la vie a été consacrée au syndicalisme.
Dans cette Lettre ouverte à un syndiqué, André Bergeron expose ce qu’est et ce que veut la Confédération Force Ouvrière. Secrétaire Général de cette organisation depuis plus de onze ans, il s’est affirmé comme leader du syndicalisme réformiste. La Lettre ouverte à un syndiqué tend à démontrer l’efficacité d’une action qui, jour après jour, a conduit à une réelle amélioration de la condition ouvrière. André Bergeron estime que cette action n’aura jamais de fin, en tout cas tant que la démocratie existera et, par conséquent, le syndicalisme libre. Farouchement hostile à toutes les formes d’oppression, le Secrétaire Général de FO ne cesse d’affirmer son attachement à l’indépendance syndicale. Il est convaincu que le renforcement de l’organisation de l’économie sera le trait dominant de l’évolution des sociétés dans les années à venir. Il la considère comme non seulement inévitable mais nécessaire. Cependant, très conscient que le renforcement de l’organisation de l’économie entraînera forcément des contraintes, il voit dans le respect de son indépendance le moyen de faire du syndicalisme un contrepoids aux excès que peut engendrer la mise en œuvre des systèmes planifiés. Fier d’être un réformiste, il répond à ceux qui le lui reprochent : « Les révolutionnaires parlent de révolution, et nous, nous la faisons ! » Aux patrons qui se plaignent de la permanence de la revendication, il répond qu’il en est de l’action syndicale comme de la vie. Tout change, tout bouge. La vérité d’aujourd’hui n’est plus celle de demain. La révolution industrielle a entraîné de profonds bouleversements dans les modes de vie. Des besoins nouveaux naissent, qu’il faut satisfaire. Animé d’idées, de projets et d’espoirs, l’ouvrage d’André Bergeron est un document vivant, émaillé d’anecdotes, le témoignage d’un homme dont toute la vie a été consacrée au syndicalisme.