Author: | Jules Verne, Léon Benett | ISBN: | 1230003036945 |
Publisher: | Paris : J. Hetzel et Cie, 1895 | Publication: | January 17, 2019 |
Imprint: | Language: | French |
Author: | Jules Verne, Léon Benett |
ISBN: | 1230003036945 |
Publisher: | Paris : J. Hetzel et Cie, 1895 |
Publication: | January 17, 2019 |
Imprint: | |
Language: | French |
Quatre musiciens français visitent l’île artificielle de Standard Island, caprice de milliardaires américains. Opulente ville, campagne souriante, installations électriques futuristes, tout y est parfaitement capitaliste et arrogant, en contraste avec le naturel des îles et leurs populations primitives. Des pirates l’abordent, des fauves l’envahissent… Critique violente du capitalisme occidRésumé :
Quatre musiciens français visitent l’île artificielle de Standard Island, caprice de milliardaires américains. Opulente ville, campagne souriante, installations électriques futuristes, tout y est parfaitement capitaliste et arrogant, en contraste avec le naturel des îles et leurs populations primitives. Des pirates l’abordent, des fauves l’envahissent… Critique violente du capitalisme occidental.
Quelques éléments de l’intrigue
Les quatre musiciens : le Quatuor Concertant
Le quatuor de musiciens est célèbre et est appelé « le Quatuor Concertant » dans les journaux. Ce sont quatre Parisiens, fiers de leur pays ; leur loyauté entre eux et à leurs amis est totale.
Ce sont:
Sébastien Zorn, violoncelliste ;
Frascolin, deuxième violon ; il se fait gentiment rabrouer par ses amis quand il donne de nombreux détails géographiques ;
Yvernès, premier violon ;
Pinchinat, alto ; celui-ci se plaint à chaque étape du voyage de ne pas trouver de vrais cannibales
Les péripéties les plus marquantes
L’île est envahie par des animaux sauvages déposés par la perfide Angleterre (fauves, crocodiles et autres)
Des fidgiens cannibales capturent Pinchinat ; après son sauvetage, il décrit ce qui l’a le plus horrifié : « Eh bien, ce n’était pas d’être mangé sur le pouce par ces indigènes !… Non ! C’était d’être dévoré par un sauvage en habit… en habit bleu à boutons d’or… avec un parapluie sous le bras… un horrible pépin britannique. »
Une troupe armée de bandits des Nouvelles-Hébrides, commandés par Sarol, essaie d’envahir l’île.
Une histoire d’amour
L’île est divisée en deux parties, l’une protestante, l’autre catholique, qui s’opposent parfois. Les deux familles les plus riches sont à la tête de ces deux parties. Un homme et une femme de ces deux familles sont amoureux.
Comme dans les autres romans de Jules Verne, il s’agit d’amour mais pas de passion : les deux amoureux attendent l’accord de leur famille, puis, une fois que tout le monde est d’accord, ils attendent patiemment le mariage, bien qu’il soit repoussé plusieurs fois pour des raisons administratives.
Quatre musiciens français visitent l’île artificielle de Standard Island, caprice de milliardaires américains. Opulente ville, campagne souriante, installations électriques futuristes, tout y est parfaitement capitaliste et arrogant, en contraste avec le naturel des îles et leurs populations primitives. Des pirates l’abordent, des fauves l’envahissent… Critique violente du capitalisme occidRésumé :
Quatre musiciens français visitent l’île artificielle de Standard Island, caprice de milliardaires américains. Opulente ville, campagne souriante, installations électriques futuristes, tout y est parfaitement capitaliste et arrogant, en contraste avec le naturel des îles et leurs populations primitives. Des pirates l’abordent, des fauves l’envahissent… Critique violente du capitalisme occidental.
Quelques éléments de l’intrigue
Les quatre musiciens : le Quatuor Concertant
Le quatuor de musiciens est célèbre et est appelé « le Quatuor Concertant » dans les journaux. Ce sont quatre Parisiens, fiers de leur pays ; leur loyauté entre eux et à leurs amis est totale.
Ce sont:
Sébastien Zorn, violoncelliste ;
Frascolin, deuxième violon ; il se fait gentiment rabrouer par ses amis quand il donne de nombreux détails géographiques ;
Yvernès, premier violon ;
Pinchinat, alto ; celui-ci se plaint à chaque étape du voyage de ne pas trouver de vrais cannibales
Les péripéties les plus marquantes
L’île est envahie par des animaux sauvages déposés par la perfide Angleterre (fauves, crocodiles et autres)
Des fidgiens cannibales capturent Pinchinat ; après son sauvetage, il décrit ce qui l’a le plus horrifié : « Eh bien, ce n’était pas d’être mangé sur le pouce par ces indigènes !… Non ! C’était d’être dévoré par un sauvage en habit… en habit bleu à boutons d’or… avec un parapluie sous le bras… un horrible pépin britannique. »
Une troupe armée de bandits des Nouvelles-Hébrides, commandés par Sarol, essaie d’envahir l’île.
Une histoire d’amour
L’île est divisée en deux parties, l’une protestante, l’autre catholique, qui s’opposent parfois. Les deux familles les plus riches sont à la tête de ces deux parties. Un homme et une femme de ces deux familles sont amoureux.
Comme dans les autres romans de Jules Verne, il s’agit d’amour mais pas de passion : les deux amoureux attendent l’accord de leur famille, puis, une fois que tout le monde est d’accord, ils attendent patiemment le mariage, bien qu’il soit repoussé plusieurs fois pour des raisons administratives.