Ce livre parle d'un ancien alphabet. Il parle aussi de magie. Cet alphabet, constitué par les runes, est intimement liés à la mythologie nordique, un panthéon relégué aux oubliettes par le christianisme et qui le resta durant des siècles. Mais dont la nature essentielle est demeurée. La première tentative de renouer avec les dieux du Nord, au siècle passé, a donné des résultats radicaux. Jung, dans son essai sur Wotan publié pour la première fois en 1936, décrit comment « Wotan, dieu ancien de la tempête et de la frénésie, longtemps dormant », se réveille « comme un volcan éteint, pour une nouvelle activité, dans un pays civilisé supposé avoir enterré le Moyen Âge depuis longtemps ». Quatre-vingts ans plus tard, il y a toujours quelque chose de terrifiant et de sauvage chez les dieux nordiques. Pour certaines personnes, c'est une raison suffisante pour ne rien avoir à faire avec eux. D'autres, comme Freya Aswynn, peuvent regarder au-delà de la surface rugueuse et percevoir la nature essentielle d'un panthéon, tout aussi complet et noble qu'un autre.
Ce livre parle d'un ancien alphabet. Il parle aussi de magie. Cet alphabet, constitué par les runes, est intimement liés à la mythologie nordique, un panthéon relégué aux oubliettes par le christianisme et qui le resta durant des siècles. Mais dont la nature essentielle est demeurée. La première tentative de renouer avec les dieux du Nord, au siècle passé, a donné des résultats radicaux. Jung, dans son essai sur Wotan publié pour la première fois en 1936, décrit comment « Wotan, dieu ancien de la tempête et de la frénésie, longtemps dormant », se réveille « comme un volcan éteint, pour une nouvelle activité, dans un pays civilisé supposé avoir enterré le Moyen Âge depuis longtemps ». Quatre-vingts ans plus tard, il y a toujours quelque chose de terrifiant et de sauvage chez les dieux nordiques. Pour certaines personnes, c'est une raison suffisante pour ne rien avoir à faire avec eux. D'autres, comme Freya Aswynn, peuvent regarder au-delà de la surface rugueuse et percevoir la nature essentielle d'un panthéon, tout aussi complet et noble qu'un autre.