Author: | Sébastien Doubinsky | ISBN: | 9791092243529 |
Publisher: | E-FRACTIONS ÉDITIONS | Publication: | September 22, 2014 |
Imprint: | E-FRACTIONS ÉDITIONS | Language: | French |
Author: | Sébastien Doubinsky |
ISBN: | 9791092243529 |
Publisher: | E-FRACTIONS ÉDITIONS |
Publication: | September 22, 2014 |
Imprint: | E-FRACTIONS ÉDITIONS |
Language: | French |
« Tes hanches me rappellent la Grèce magique où nous avions baigné nos corps et attrapé des piquants d’oursins plein les pieds, tu te rappelles ? (...) Tes hanches, comme ces pierres pleines de soleil, avant l’accident et tous les mensonges et toutes les souffrances, par ma faute et celle de la mort, cette satanée canaille qui détruit autant les vivants que les morts, cette mort qui saccage tous les jardins et brûle tous les théâtres, car les cimetières sont des parodies de jardin et les enterrements de grotesques pièces de théâtre. Mais le plus mauvais acteur, c’était moi. »
En un jour et une nuit, Sébastien Doubinsky trace une odyssée sous la peau du quotidien. Il fore dans l’illusion d’une jouissance qu’il faudrait vouloir infinie, pour toucher à l’os, à l’irréductible de ce qui nous fonde, nous tient et, sans aucun doute, nous sauve. D’une force poétique sans apprêt, Peau d’orange se lit comme on se saisit d’une dernière chance : dans une fulgurance lucide.
« Tes hanches me rappellent la Grèce magique où nous avions baigné nos corps et attrapé des piquants d’oursins plein les pieds, tu te rappelles ? (...) Tes hanches, comme ces pierres pleines de soleil, avant l’accident et tous les mensonges et toutes les souffrances, par ma faute et celle de la mort, cette satanée canaille qui détruit autant les vivants que les morts, cette mort qui saccage tous les jardins et brûle tous les théâtres, car les cimetières sont des parodies de jardin et les enterrements de grotesques pièces de théâtre. Mais le plus mauvais acteur, c’était moi. »
En un jour et une nuit, Sébastien Doubinsky trace une odyssée sous la peau du quotidien. Il fore dans l’illusion d’une jouissance qu’il faudrait vouloir infinie, pour toucher à l’os, à l’irréductible de ce qui nous fonde, nous tient et, sans aucun doute, nous sauve. D’une force poétique sans apprêt, Peau d’orange se lit comme on se saisit d’une dernière chance : dans une fulgurance lucide.