1977. Les hordes punks ont déboulé dans le paysage rock des seventies. The Sex Pistols, The Clash et The Jam réinstallent l’urgence rock, une notion totalement disparue durant l’époque progressive. Elvis est sur le point de mourir, les Rolling Stones font l’objet de toutes les suspicions et même les Beatles sont voués aux gémonies par les plus radicaux d’entre eux. The Who, The Pink Floyd ou Led Zeppelin donnent l’impression d’avoir perdu toute créativité, toute vitalité, toute énergie. Peter Gabriel, lui, avait pris la tangente dès 1975, disparaissant de l’espace musical britannique par un rejet immodéré du show business. I. L’électronique emplissait les studios, la crise s’installait pour durer et les minauderies tombaient en désuétude. L’avenir s’annonçait incertain, sombre et inquiétant. Mais justement, Peter Gabriel était l’homme de la situation, excellant dans le domaine du mystère, des ténèbres et des interrogations. Le moment semblait propice, et il savait que la décennie à venir serait sienne…
1977. Les hordes punks ont déboulé dans le paysage rock des seventies. The Sex Pistols, The Clash et The Jam réinstallent l’urgence rock, une notion totalement disparue durant l’époque progressive. Elvis est sur le point de mourir, les Rolling Stones font l’objet de toutes les suspicions et même les Beatles sont voués aux gémonies par les plus radicaux d’entre eux. The Who, The Pink Floyd ou Led Zeppelin donnent l’impression d’avoir perdu toute créativité, toute vitalité, toute énergie. Peter Gabriel, lui, avait pris la tangente dès 1975, disparaissant de l’espace musical britannique par un rejet immodéré du show business. I. L’électronique emplissait les studios, la crise s’installait pour durer et les minauderies tombaient en désuétude. L’avenir s’annonçait incertain, sombre et inquiétant. Mais justement, Peter Gabriel était l’homme de la situation, excellant dans le domaine du mystère, des ténèbres et des interrogations. Le moment semblait propice, et il savait que la décennie à venir serait sienne…