Author: | Jules Verne | ISBN: | 1230001653694 |
Publisher: | JBR | Publication: | April 23, 2017 |
Imprint: | Language: | French |
Author: | Jules Verne |
ISBN: | 1230001653694 |
Publisher: | JBR |
Publication: | April 23, 2017 |
Imprint: | |
Language: | French |
Robur le conquerant (Edition Intégrale - Version Entièrement Illustrée)
* inclus une courte biographie de Jules Verne
Résumé : Uncle Prudent et Phil Evans sont respectivement président et secrétaire du Weldon-Institute de Philadelphie, mais aussi d'intimes ennemis.
Le Weldom-Institute est un club rassemblant tout ceux qui pouvaient s'intéresser à l’aérostatique, "mais amateurs enragés et particulièrement ennemis de ceux qui veulent opposer aux aérostats les appareils plus lourds que l'air." Ces "ballonistes" en sont à se disputer la meilleure manière de diriger un aérostat, lorsqu'un homme, Robur, fait irruption dans la salle de séance du Weldon-Institute : il provoque la fureur de ses membres en disant que l'avenir appartient non pas aux ballons, mais aux machines volantes. Pour prouver ses dires, il enlève Prudent et Evans et les embarque à bord de l'Albatros, une machine volante digne du Nautilus. Robur commence un périple autour du monde, prouvant à Prudent et Evans qu'une machine volante mue par l'électricité se contrôle beaucoup mieux qu'un ballon.
Extrait : Que Uncle Prudent eût des amis, puisqu’il était riche, cela va de soi ; mais il avait aussi des ennemis, puisqu’il était président du club, ― entre autres, tous ceux qui enviaient cette situation. Parmi les plus acharnés, il convient de citer le secrétaire du Weldon-Institute.
C’était Phil Evans, très riche aussi, puisqu’il dirigeait la Walton Watch Company, importante usine à montres, qui fabrique par jour cinq cents mouvements à la mécanique et livre des produits comparables aux meilleurs de la Suisse. Phil Evans aurait donc pu passer pour un des hommes les plus heureux du monde et même des États-Unis, n’eût été la situation de Uncle Prudent. Comme lui, il était âgé de quarante-cinq ans, comme lui d’une santé à toute épreuve, comme lui d’une audace indiscutable, comme lui peu soucieux de troquer les avantages certains du célibat contre les avantages douteux du mariage. C’étaient deux hommes bien faits pour se comprendre, mais qui ne se comprenaient pas, et tous deux, il faut bien le dire, d’une extrême violence de caractère, l’un à chaud, Uncle Prudent, l’autre à froid, Phil Evans.
Robur le conquerant (Edition Intégrale - Version Entièrement Illustrée)
* inclus une courte biographie de Jules Verne
Résumé : Uncle Prudent et Phil Evans sont respectivement président et secrétaire du Weldon-Institute de Philadelphie, mais aussi d'intimes ennemis.
Le Weldom-Institute est un club rassemblant tout ceux qui pouvaient s'intéresser à l’aérostatique, "mais amateurs enragés et particulièrement ennemis de ceux qui veulent opposer aux aérostats les appareils plus lourds que l'air." Ces "ballonistes" en sont à se disputer la meilleure manière de diriger un aérostat, lorsqu'un homme, Robur, fait irruption dans la salle de séance du Weldon-Institute : il provoque la fureur de ses membres en disant que l'avenir appartient non pas aux ballons, mais aux machines volantes. Pour prouver ses dires, il enlève Prudent et Evans et les embarque à bord de l'Albatros, une machine volante digne du Nautilus. Robur commence un périple autour du monde, prouvant à Prudent et Evans qu'une machine volante mue par l'électricité se contrôle beaucoup mieux qu'un ballon.
Extrait : Que Uncle Prudent eût des amis, puisqu’il était riche, cela va de soi ; mais il avait aussi des ennemis, puisqu’il était président du club, ― entre autres, tous ceux qui enviaient cette situation. Parmi les plus acharnés, il convient de citer le secrétaire du Weldon-Institute.
C’était Phil Evans, très riche aussi, puisqu’il dirigeait la Walton Watch Company, importante usine à montres, qui fabrique par jour cinq cents mouvements à la mécanique et livre des produits comparables aux meilleurs de la Suisse. Phil Evans aurait donc pu passer pour un des hommes les plus heureux du monde et même des États-Unis, n’eût été la situation de Uncle Prudent. Comme lui, il était âgé de quarante-cinq ans, comme lui d’une santé à toute épreuve, comme lui d’une audace indiscutable, comme lui peu soucieux de troquer les avantages certains du célibat contre les avantages douteux du mariage. C’étaient deux hommes bien faits pour se comprendre, mais qui ne se comprenaient pas, et tous deux, il faut bien le dire, d’une extrême violence de caractère, l’un à chaud, Uncle Prudent, l’autre à froid, Phil Evans.