Author: | FALOUKOU DOSSO | ISBN: | 1230002117539 |
Publisher: | LES EDITIONS DIFFERANCE PERENNE | Publication: | January 25, 2018 |
Imprint: | Language: | French |
Author: | FALOUKOU DOSSO |
ISBN: | 1230002117539 |
Publisher: | LES EDITIONS DIFFERANCE PERENNE |
Publication: | January 25, 2018 |
Imprint: | |
Language: | French |
Le complexe existence-engagement est incontournable dans le processus d’humanisation de toute société puisque « l’accès au sens de l’existence exige de l’individu en général et du philosophe en particulier un engagement »[1]. C’est avec l’engagement que l’on peut évoquer la question du sens de l’existence étant donné que rien ne peut se faire sans engagement. Toute existence exige inexorablement une volonté de l’homme de laisser ses empruntes dans le processus d’hominisation de sa société. L’engagement est le point focal de transformation de la société. En fait, l’existence n’est dynamique qu’en étant celle pour l’engagement, un concept philosophique qui joue un rôle déterminant dans le processus de sociabilisation de la société qui va se complexifier davantage avec l’avènement du progrès technique. L’existence n’a pas sa raison d’être sans engagement, cette notion redevenant « un thème d’actualité après être retombé dans l’oubli pendant un certain temps »[2].
L’engagement ne fait que se repositionner dans le processus d’ordination de la société en cessant de jouer un rôle majeur dans le processus de bipolarisation du monde. Ici, toute action humaine est guidée, stimulée par la problématique de l’engagement qui est loin d’être le point de bifurcation de la société. Il permet aux hommes de se retrouver dans une ère de redynamisation de leur vie sociétale étant donné que l’effondrement du mur de Berlin, acte participant de la fin de la bipolarisation du monde, n’a fait que représenter une atmosphère propice à la réflexion, à la pensée philosophique, sans soulever des inquiétudes à l’ère de la vulgarisation des idéologies contradictoires.
Parler d’engagement, ce n’est plus prendre une position en ramant à contre-courant des idéologies existantes d’une communauté, d’une patrie. Bien au contraire, l’engagement est un acte patriotique qui assure le bien-être de la collectivité, en prenant une part active dans son processus de transformation du monde. S’engager, c’est remettre l’existence au centre de toute préoccupation humaine. Être engagé, c’est travailler inexorablement pour sa patrie, pour sa contrée, être un acteur-transformateur de son temps et de son espace. Ce qui va faire de l’engagé l’être qui parle, pense, agit et décide d’apporter sa pierre à l’édification de sa société.
Le complexe existence-engagement est incontournable dans le processus d’humanisation de toute société puisque « l’accès au sens de l’existence exige de l’individu en général et du philosophe en particulier un engagement »[1]. C’est avec l’engagement que l’on peut évoquer la question du sens de l’existence étant donné que rien ne peut se faire sans engagement. Toute existence exige inexorablement une volonté de l’homme de laisser ses empruntes dans le processus d’hominisation de sa société. L’engagement est le point focal de transformation de la société. En fait, l’existence n’est dynamique qu’en étant celle pour l’engagement, un concept philosophique qui joue un rôle déterminant dans le processus de sociabilisation de la société qui va se complexifier davantage avec l’avènement du progrès technique. L’existence n’a pas sa raison d’être sans engagement, cette notion redevenant « un thème d’actualité après être retombé dans l’oubli pendant un certain temps »[2].
L’engagement ne fait que se repositionner dans le processus d’ordination de la société en cessant de jouer un rôle majeur dans le processus de bipolarisation du monde. Ici, toute action humaine est guidée, stimulée par la problématique de l’engagement qui est loin d’être le point de bifurcation de la société. Il permet aux hommes de se retrouver dans une ère de redynamisation de leur vie sociétale étant donné que l’effondrement du mur de Berlin, acte participant de la fin de la bipolarisation du monde, n’a fait que représenter une atmosphère propice à la réflexion, à la pensée philosophique, sans soulever des inquiétudes à l’ère de la vulgarisation des idéologies contradictoires.
Parler d’engagement, ce n’est plus prendre une position en ramant à contre-courant des idéologies existantes d’une communauté, d’une patrie. Bien au contraire, l’engagement est un acte patriotique qui assure le bien-être de la collectivité, en prenant une part active dans son processus de transformation du monde. S’engager, c’est remettre l’existence au centre de toute préoccupation humaine. Être engagé, c’est travailler inexorablement pour sa patrie, pour sa contrée, être un acteur-transformateur de son temps et de son espace. Ce qui va faire de l’engagé l’être qui parle, pense, agit et décide d’apporter sa pierre à l’édification de sa société.