Author: | Arthur Conan Doyle, Henry Evie | ISBN: | 1230002995250 |
Publisher: | Paris : F. Juven, 1905 | Publication: | December 17, 2018 |
Imprint: | Language: | French |
Author: | Arthur Conan Doyle, Henry Evie |
ISBN: | 1230002995250 |
Publisher: | Paris : F. Juven, 1905 |
Publication: | December 17, 2018 |
Imprint: | |
Language: | French |
Charles-Auguste Milverton...
Sherlock Holmes a été contacté par lady Eva Blackwell, qui est victime d’une affaire de chantage montée par Charles Auguste Milverton. Ce dernier est en effet un homme méprisable qui gagne des milliers de livres sterling en échange de son silence concernant des affaires de mœurs. Eva Blackwell va prochainement se marier au comte de Dovercourt, mais a eu précédemment une correspondance « imprudente » avec un autre homme. Milverton est en possession de ces lettres, et menace de les transmettre au comte, qui refuserait immédiatement de se marier à Eva Blackwell. La somme exigée par Milverton pour son silence est de 7000 £.
Les six « napoléons »
L’inspecteur Lestrade est perplexe face à une série de petits actes criminels liés. Un fou détruit des bustes de Napoléon Ier sans raison en s’infiltrant chez les propriétaires.
Le pince-nez d’or
Par une soirée de mauvais temps, l’inspecteur Stanley Hopkins de Scotland Yard arrive à Baker Street. Hopkins a enquêté pendant la journée sur une nouvelle affaire et ne parvient pas à en trouver la solution. Dans le domaine de Yoxley Old Place situé à Chatham (Kent), vit un vieux professeur à la mobilite réduite du nom de Coram, ainsi que Mme Marker, sa gouvernante et Susan Tarlton, la bonne. Le professeur avait un jeune secrétaire du nom de Willoughby Smith qui a été retrouvé avec la carotide tranchée dans le bureau de Coram, alors que ce dernier se trouvait dans sa chambre. Le jeune homme ayant poussé un cri effroyable, Susan Tarlton s’était précipitée dans le bureau pour recueillir ses dernières paroles (« Le professeur… c’était elle ») avant qu’il ne succombe à sa blessure. Smith tenait dans sa main droite un pince-nez doré (lunettes d’époque) appartenant probablement à son assassin, le jeune homme n’ayant aucun problème oculaire.
Le champion qui manque
Cyril Overton est capitaine de l’équipe de rugby de l’université de Cambridge. À l’avant-veille d’un match contre l’équipe d’Oxford, son trois-quart aile Godfrey Staunton a quitté en soirée l’hôtel de Londres où l’équipe de Cambridge logeait, et n’est pas revenu. Or, Staunton est le meilleur joueur de l’équipe, et son absence au match compromettrait les chances de victoire. Overton s’est rendu à Scotland Yard, et l’inspecteur Stanley Hopkins lui a conseillé de contacter Sherlock Holmes pour cette affaire.
L’abbaye de Grange
Holmes réveille Watson tôt dans la matinée et tous deux partent en province par le train, en direction du manoir de l’Abbaye, situé dans le Kent. Holmes montre alors à Watson un télégramme que lui a envoyé l’inspecteur Stanley Hopkins en pleine nuit, lui demandant de se rendre rapidement au manoir. En analysant les caractéristiques du télégramme, Holmes parvient à deviner qu’Eustace Brackenstall, le maître du domaine, a été assassiné. En effet, une fois arrivés, lady Brackenstall leur raconte les évènements de la veille au soir. Alors qu’elle vérifiait à 23 h passées que les fenêtres du manoir étaient bien fermées avant de se coucher, elle en trouva une ouverte dans la salle à manger. En tirant le rideau pour accéder à la poignée, elle découvrit un homme derrière qui venait d’entrer dans la pièce, suivi par deux acolytes. Elle n’eut pas le temps de crier, le premier homme l’ayant immédiatement frappée au visage au point qu’elle perde connaissance. En se réveillant, elle se trouvait bâillonnée et ligotée à une chaise à l’aide de la corde de la sonnette de la cuisine qui avait été arrachée. C’est alors que son mari, probablement attiré par des bruits suspects, arriva dans la salle à manger. L’un des intrus se précipita alors sur lui et lui asséna un violent coup de tisonnier à la tête qui le blessa mortellement. Les trois agresseurs burent alors chacun un verre de vin pour se remettre de leurs émotions, puis s’enfuirent rapidement avec de l’argenterie. Lady Brackenstall parvint petit à petit à se défaire de son bâillon et ses cris parvinrent à faire venir sa femme de chambre Theresa Wright. Celle-ci, qui confirme avoir trouvé sa protégée dans cet état critique, presse le détective d’arrêter leur interrogatoire, la maîtresse de maison ayant besoin de repos après le choc de l’agression.
Holmes apprend auparavant que lady Brackenstall, originaire d’Australie du Sud, est venue en Angleterre il y a un an et demi, et que sir Brackenstall était un homme souvent ivre, qui se comportait particulièrement mal avec sa femme et le reste du personnel dans ces moments-là.
La seconde tache
Un matin, Sherlock Holmes reçoit à Baker Street lord Bellinger et Trelawney Hope, le premier étant Premier ministre de Grande-Bretagne, et le second secrétaire aux Affaires européennes. Les deux hommes viennent faire appel aux talents de Holmes pour résoudre une affaire d’État de grande importance. Trelawney Hope avait reçu six jours auparavant une lettre d’un potentat étranger, dont le contenu devait rester purement confidentiel, sa publication pouvant entraîner d’importantes tensions politiques, voire une guerre. Or, la veille au soir, cette lettre lui a été volée alors qu’elle se trouvait dans un coffre fermé à clé dans sa chambre. Holmes doit retrouver la lettre avant qu’elle ne soit rendue publique.
Charles-Auguste Milverton...
Sherlock Holmes a été contacté par lady Eva Blackwell, qui est victime d’une affaire de chantage montée par Charles Auguste Milverton. Ce dernier est en effet un homme méprisable qui gagne des milliers de livres sterling en échange de son silence concernant des affaires de mœurs. Eva Blackwell va prochainement se marier au comte de Dovercourt, mais a eu précédemment une correspondance « imprudente » avec un autre homme. Milverton est en possession de ces lettres, et menace de les transmettre au comte, qui refuserait immédiatement de se marier à Eva Blackwell. La somme exigée par Milverton pour son silence est de 7000 £.
Les six « napoléons »
L’inspecteur Lestrade est perplexe face à une série de petits actes criminels liés. Un fou détruit des bustes de Napoléon Ier sans raison en s’infiltrant chez les propriétaires.
Le pince-nez d’or
Par une soirée de mauvais temps, l’inspecteur Stanley Hopkins de Scotland Yard arrive à Baker Street. Hopkins a enquêté pendant la journée sur une nouvelle affaire et ne parvient pas à en trouver la solution. Dans le domaine de Yoxley Old Place situé à Chatham (Kent), vit un vieux professeur à la mobilite réduite du nom de Coram, ainsi que Mme Marker, sa gouvernante et Susan Tarlton, la bonne. Le professeur avait un jeune secrétaire du nom de Willoughby Smith qui a été retrouvé avec la carotide tranchée dans le bureau de Coram, alors que ce dernier se trouvait dans sa chambre. Le jeune homme ayant poussé un cri effroyable, Susan Tarlton s’était précipitée dans le bureau pour recueillir ses dernières paroles (« Le professeur… c’était elle ») avant qu’il ne succombe à sa blessure. Smith tenait dans sa main droite un pince-nez doré (lunettes d’époque) appartenant probablement à son assassin, le jeune homme n’ayant aucun problème oculaire.
Le champion qui manque
Cyril Overton est capitaine de l’équipe de rugby de l’université de Cambridge. À l’avant-veille d’un match contre l’équipe d’Oxford, son trois-quart aile Godfrey Staunton a quitté en soirée l’hôtel de Londres où l’équipe de Cambridge logeait, et n’est pas revenu. Or, Staunton est le meilleur joueur de l’équipe, et son absence au match compromettrait les chances de victoire. Overton s’est rendu à Scotland Yard, et l’inspecteur Stanley Hopkins lui a conseillé de contacter Sherlock Holmes pour cette affaire.
L’abbaye de Grange
Holmes réveille Watson tôt dans la matinée et tous deux partent en province par le train, en direction du manoir de l’Abbaye, situé dans le Kent. Holmes montre alors à Watson un télégramme que lui a envoyé l’inspecteur Stanley Hopkins en pleine nuit, lui demandant de se rendre rapidement au manoir. En analysant les caractéristiques du télégramme, Holmes parvient à deviner qu’Eustace Brackenstall, le maître du domaine, a été assassiné. En effet, une fois arrivés, lady Brackenstall leur raconte les évènements de la veille au soir. Alors qu’elle vérifiait à 23 h passées que les fenêtres du manoir étaient bien fermées avant de se coucher, elle en trouva une ouverte dans la salle à manger. En tirant le rideau pour accéder à la poignée, elle découvrit un homme derrière qui venait d’entrer dans la pièce, suivi par deux acolytes. Elle n’eut pas le temps de crier, le premier homme l’ayant immédiatement frappée au visage au point qu’elle perde connaissance. En se réveillant, elle se trouvait bâillonnée et ligotée à une chaise à l’aide de la corde de la sonnette de la cuisine qui avait été arrachée. C’est alors que son mari, probablement attiré par des bruits suspects, arriva dans la salle à manger. L’un des intrus se précipita alors sur lui et lui asséna un violent coup de tisonnier à la tête qui le blessa mortellement. Les trois agresseurs burent alors chacun un verre de vin pour se remettre de leurs émotions, puis s’enfuirent rapidement avec de l’argenterie. Lady Brackenstall parvint petit à petit à se défaire de son bâillon et ses cris parvinrent à faire venir sa femme de chambre Theresa Wright. Celle-ci, qui confirme avoir trouvé sa protégée dans cet état critique, presse le détective d’arrêter leur interrogatoire, la maîtresse de maison ayant besoin de repos après le choc de l’agression.
Holmes apprend auparavant que lady Brackenstall, originaire d’Australie du Sud, est venue en Angleterre il y a un an et demi, et que sir Brackenstall était un homme souvent ivre, qui se comportait particulièrement mal avec sa femme et le reste du personnel dans ces moments-là.
La seconde tache
Un matin, Sherlock Holmes reçoit à Baker Street lord Bellinger et Trelawney Hope, le premier étant Premier ministre de Grande-Bretagne, et le second secrétaire aux Affaires européennes. Les deux hommes viennent faire appel aux talents de Holmes pour résoudre une affaire d’État de grande importance. Trelawney Hope avait reçu six jours auparavant une lettre d’un potentat étranger, dont le contenu devait rester purement confidentiel, sa publication pouvant entraîner d’importantes tensions politiques, voire une guerre. Or, la veille au soir, cette lettre lui a été volée alors qu’elle se trouvait dans un coffre fermé à clé dans sa chambre. Holmes doit retrouver la lettre avant qu’elle ne soit rendue publique.