Au milieu des années quatre-vingt, un vent nouveau souffle sur la Bay Area de Los Angeles. En réaction au « rock peroxydé » sévissant à l’époque se crée le thrash metal, rencontre du punk et de la New Wave of British Heavy Metal. De cette alliance explosive naissent des groupes emblématiques comme Metallica, Exodus, Anthrax, Testament, et, bien sûr, Slayer. Dès lors, Tom Araya, Kerry King, Jeff Hanneman et Dave Lombardo alignent avec succès des albums aux morceaux controversés, cocktails de satanisme et de tueurs en série, de guerre et de religion, notamment le fameux « Angel of Death », figure de proue du célébrissime Reign in Blood, influence majeure du death et du black metal. Vingt-cinq ans plus tard, alors qu’une nouvelle vague de groupes thrash monte au créneau, Slayer, devenu au fil des ans une pierre angulaire du paysage métallique, est toujours présent et pertinent. Les lions n’ont pas fini de rugir.
Au milieu des années quatre-vingt, un vent nouveau souffle sur la Bay Area de Los Angeles. En réaction au « rock peroxydé » sévissant à l’époque se crée le thrash metal, rencontre du punk et de la New Wave of British Heavy Metal. De cette alliance explosive naissent des groupes emblématiques comme Metallica, Exodus, Anthrax, Testament, et, bien sûr, Slayer. Dès lors, Tom Araya, Kerry King, Jeff Hanneman et Dave Lombardo alignent avec succès des albums aux morceaux controversés, cocktails de satanisme et de tueurs en série, de guerre et de religion, notamment le fameux « Angel of Death », figure de proue du célébrissime Reign in Blood, influence majeure du death et du black metal. Vingt-cinq ans plus tard, alors qu’une nouvelle vague de groupes thrash monte au créneau, Slayer, devenu au fil des ans une pierre angulaire du paysage métallique, est toujours présent et pertinent. Les lions n’ont pas fini de rugir.