Author: | xavier jaffré | ISBN: | 1230001322286 |
Publisher: | Xavier Jaffré éditions | Publication: | August 26, 2016 |
Imprint: | Language: | French |
Author: | xavier jaffré |
ISBN: | 1230001322286 |
Publisher: | Xavier Jaffré éditions |
Publication: | August 26, 2016 |
Imprint: | |
Language: | French |
52 pages.
PETIT EDITORIAL
Depuis plus de 10 ans, je suis habitué à subir des attaques gratuites de ces malfaiteurs, que ce soit dans la politique, le syndicalisme et j'en passe encore. La France est un pays qui n'aime pas les entrepreneurs, ceux qui marchent la tête haute, gagnent éventuellement, ou perdent sans en être affecté. Tant de positivisme représente une telle insolence aux yeux de certaines personnes moins dynamiques que le gagneur doit dans les yeux de quelques uns de ces misérables, perdre à tout prix.
Dans ces gamineries, c'est une vie qui est fichu en l'air, et ce, définitivement probablement.
Mais surtout, gagner de l'argent, ou tenter d'en gagner, reste hélas en France un tabou qu'il ne faut pas transgresser. Il est à souligner que dans les grandes familles bourgeoises traditionnelles, il est de bon ton de faire carrière dans la fonction publique, plutôt que de créer son propre business à cause de la peur de l'échec et de l'opinion d'autrui, mais aussi à cause sans doute d'une éducation catholique trop rigoriste qui condamne l'argent, car toute forme de commerce est considérée comme une forme de dépouille des plus démunis. Il en est ainsi.
Attaqué par les syndicats, je n'ai jamais pu me salarier, tout a été conçu pour que je reste sur la touche. La raison? J'ai offusqué une gauche stalinienne à Ivry sur Seine pour avoir soutenu la droite très efficacement durant les municipales de 2001 si mes souvenirs sont exacts. Ce crime de lèse majesté, je l'ai payé au prix fort durant des années jusqu'à ce que je parvienne enfin, grâce à internet, à me médiatiser efficacement et à prendre du poids politiquement.
52 pages.
PETIT EDITORIAL
Depuis plus de 10 ans, je suis habitué à subir des attaques gratuites de ces malfaiteurs, que ce soit dans la politique, le syndicalisme et j'en passe encore. La France est un pays qui n'aime pas les entrepreneurs, ceux qui marchent la tête haute, gagnent éventuellement, ou perdent sans en être affecté. Tant de positivisme représente une telle insolence aux yeux de certaines personnes moins dynamiques que le gagneur doit dans les yeux de quelques uns de ces misérables, perdre à tout prix.
Dans ces gamineries, c'est une vie qui est fichu en l'air, et ce, définitivement probablement.
Mais surtout, gagner de l'argent, ou tenter d'en gagner, reste hélas en France un tabou qu'il ne faut pas transgresser. Il est à souligner que dans les grandes familles bourgeoises traditionnelles, il est de bon ton de faire carrière dans la fonction publique, plutôt que de créer son propre business à cause de la peur de l'échec et de l'opinion d'autrui, mais aussi à cause sans doute d'une éducation catholique trop rigoriste qui condamne l'argent, car toute forme de commerce est considérée comme une forme de dépouille des plus démunis. Il en est ainsi.
Attaqué par les syndicats, je n'ai jamais pu me salarier, tout a été conçu pour que je reste sur la touche. La raison? J'ai offusqué une gauche stalinienne à Ivry sur Seine pour avoir soutenu la droite très efficacement durant les municipales de 2001 si mes souvenirs sont exacts. Ce crime de lèse majesté, je l'ai payé au prix fort durant des années jusqu'à ce que je parvienne enfin, grâce à internet, à me médiatiser efficacement et à prendre du poids politiquement.