Author: | Alfred JARRY | ISBN: | 1230001410747 |
Publisher: | Editions MARQUES | Publication: | November 2, 2016 |
Imprint: | Language: | French |
Author: | Alfred JARRY |
ISBN: | 1230001410747 |
Publisher: | Editions MARQUES |
Publication: | November 2, 2016 |
Imprint: | |
Language: | French |
Jarry Alfred – Ubu enchaîné : Après la gloire et les avanies d’un règne en Pologne, Père Ubu et Mère Ubu sont de retour. Mais Père Ubu n’a plus son cheval à Phynances et n’ose plus énoncer son fameux mot… Que faire, cornegidouille ? Ubu est guéri de la royauté. Pourquoi alors ne pas devenir esclave, trouver bonheur et confort assurés dans la soumission ? Une soumission toute relative, d’ailleurs, car les serviteurs ont des droits et les maîtres n’ont qu’à bien se tenir ! Ou mieux encore, la prison et les galères ! On y est nourri – car il faut à Ubu ses 12 repas par jour, chandelle verte ! – logé et tranquille. Et, pour les boulets aux pieds, Mère Ubu leur tricote des chaussons… Sa servitude épanouie fait des émules au point qu’il faut détruire les quartiers environnants pour agrandir la prison. Car la liberté, quelle galère ! Les « Hommes libres » font, chaque matin, l’exercice de leur désobéissance sous les ordres du Caporal Pissedoux.
Ubu, dans sa soumission grotesque, triomphante et tyrannique – le pendant de sa royauté précédente – nous interroge sur la réalité de notre liberté dans une société industrielle dont l’hypocrisie est au cœur des rapports sociaux et où le pouvoir avance souvent masqué, mais non moins tyrannique.
Jarry Alfred – Ubu enchaîné : Après la gloire et les avanies d’un règne en Pologne, Père Ubu et Mère Ubu sont de retour. Mais Père Ubu n’a plus son cheval à Phynances et n’ose plus énoncer son fameux mot… Que faire, cornegidouille ? Ubu est guéri de la royauté. Pourquoi alors ne pas devenir esclave, trouver bonheur et confort assurés dans la soumission ? Une soumission toute relative, d’ailleurs, car les serviteurs ont des droits et les maîtres n’ont qu’à bien se tenir ! Ou mieux encore, la prison et les galères ! On y est nourri – car il faut à Ubu ses 12 repas par jour, chandelle verte ! – logé et tranquille. Et, pour les boulets aux pieds, Mère Ubu leur tricote des chaussons… Sa servitude épanouie fait des émules au point qu’il faut détruire les quartiers environnants pour agrandir la prison. Car la liberté, quelle galère ! Les « Hommes libres » font, chaque matin, l’exercice de leur désobéissance sous les ordres du Caporal Pissedoux.
Ubu, dans sa soumission grotesque, triomphante et tyrannique – le pendant de sa royauté précédente – nous interroge sur la réalité de notre liberté dans une société industrielle dont l’hypocrisie est au cœur des rapports sociaux et où le pouvoir avance souvent masqué, mais non moins tyrannique.