Author: | Maurice Leblanc | ISBN: | 1230000278930 |
Publisher: | NA | Publication: | November 8, 2014 |
Imprint: | Language: | French |
Author: | Maurice Leblanc |
ISBN: | 1230000278930 |
Publisher: | NA |
Publication: | November 8, 2014 |
Imprint: | |
Language: | French |
Arsène Lupin, jeune amant de Clarisse d'Étigues, sauve une certaine Joséphine Balsamo que le père et le cousin de Clarisse ont tenté de tuer sur ordre de leur maître chanteur, Beaumagnan. Beaumagnan et ses amis étaient des royalistes engagés. Joséphine Pellegrini-Balsamo était comtesse de Cagliostro, née à Palerme le 29 juillet 1788 d’une liaison de Joseph Balsamo et de Joséphine de la Pagerie.
Âgée de quelque 106 ans mais en paraissant 30, elle serait une espionne, traîtresse, voleuse et meurtrière, qui aurait profité du secret de longue vie et de jeunesse de Cagliostro.
Extrait: Arsène Lupin a vingt ans
Raoul d’Andrésy jeta sa bicyclette, après en avoir éteint la lanterne, derrière un talus rehaussé de broussailles. À ce moment, trois heures sonnaient au clocher de Bénouville.
Dans l’ombre épaisse de la nuit, il suivit le chemin de campagne qui desservait le domaine de la Haie d’Étigues, et parvint ainsi aux murs de l’enceinte. Il attendit un peu. Des chevaux qui piaffent, des roues qui résonnent sur le pavé d’une cour, un bruit de grelots, les deux battants de la porte ouverts d’un coup… et un break passa.
Arsène Lupin, jeune amant de Clarisse d'Étigues, sauve une certaine Joséphine Balsamo que le père et le cousin de Clarisse ont tenté de tuer sur ordre de leur maître chanteur, Beaumagnan. Beaumagnan et ses amis étaient des royalistes engagés. Joséphine Pellegrini-Balsamo était comtesse de Cagliostro, née à Palerme le 29 juillet 1788 d’une liaison de Joseph Balsamo et de Joséphine de la Pagerie.
Âgée de quelque 106 ans mais en paraissant 30, elle serait une espionne, traîtresse, voleuse et meurtrière, qui aurait profité du secret de longue vie et de jeunesse de Cagliostro.
Extrait: Arsène Lupin a vingt ans
Raoul d’Andrésy jeta sa bicyclette, après en avoir éteint la lanterne, derrière un talus rehaussé de broussailles. À ce moment, trois heures sonnaient au clocher de Bénouville.
Dans l’ombre épaisse de la nuit, il suivit le chemin de campagne qui desservait le domaine de la Haie d’Étigues, et parvint ainsi aux murs de l’enceinte. Il attendit un peu. Des chevaux qui piaffent, des roues qui résonnent sur le pavé d’une cour, un bruit de grelots, les deux battants de la porte ouverts d’un coup… et un break passa.