Author: | Gaston Leroux | ISBN: | 1230001315240 |
Publisher: | Petite Plume Edition | Publication: | August 18, 2016 |
Imprint: | Language: | French |
Author: | Gaston Leroux |
ISBN: | 1230001315240 |
Publisher: | Petite Plume Edition |
Publication: | August 18, 2016 |
Imprint: | |
Language: | French |
Confitou est les fils d'un père français et d'une mère allemende.Il a des sentiments trés profonds pour sa mère et est porté à suivre son exemple.Mais il change complètement de sentiments et se rebelle contre l'armée allemande lorsque celle-ci arrive. Il prend les armes, trahit sa mère et son oncle officier allemand,pour libérer son village.
Comment va Mme Raucoux-Desmares, mon cher maître ? On ne la voit plus !
— Elle est un peu souffrante, répondit évasivement le célèbre professeur Raucoux-Desmares à la petite Mme Lavallette qu’il avait croisée dans le vestibule de son fameux institut de Saint-Rémy-en-Valois, transformé, sur son initiative, en hôpital militaire ; et il hâta le pas vers la sortie.
Il venait de passer encore une nuit blanche, car le dernier train du Nord avait laissé à Saint-Rémy une douzaine de grands blessés qui avaient dû être opérés d’urgence. Depuis trois jours il n’avait pas dormi huit heures ; et comme il allait être cinq heures du matin et qu’on attendait d’autres blessés à onze heures, il n’avait pas de temps à perdre. Son repos aurait dû être aussi précieux aux autres qu’à lui-même. C’est sans doute ce qu’il aurait désiré que la petite Mme Lavallette comprît bien ; mais elle courut derrière lui...
Confitou est les fils d'un père français et d'une mère allemende.Il a des sentiments trés profonds pour sa mère et est porté à suivre son exemple.Mais il change complètement de sentiments et se rebelle contre l'armée allemande lorsque celle-ci arrive. Il prend les armes, trahit sa mère et son oncle officier allemand,pour libérer son village.
Comment va Mme Raucoux-Desmares, mon cher maître ? On ne la voit plus !
— Elle est un peu souffrante, répondit évasivement le célèbre professeur Raucoux-Desmares à la petite Mme Lavallette qu’il avait croisée dans le vestibule de son fameux institut de Saint-Rémy-en-Valois, transformé, sur son initiative, en hôpital militaire ; et il hâta le pas vers la sortie.
Il venait de passer encore une nuit blanche, car le dernier train du Nord avait laissé à Saint-Rémy une douzaine de grands blessés qui avaient dû être opérés d’urgence. Depuis trois jours il n’avait pas dormi huit heures ; et comme il allait être cinq heures du matin et qu’on attendait d’autres blessés à onze heures, il n’avait pas de temps à perdre. Son repos aurait dû être aussi précieux aux autres qu’à lui-même. C’est sans doute ce qu’il aurait désiré que la petite Mme Lavallette comprît bien ; mais elle courut derrière lui...