De tout temps, l'Homme a été intrigué par son origine, et cela l'a tout naturellement conduit à s'interroger sur l'origine de la Vie. Il aborde le problème selon une pensée qui l'empêchait d'y voir autre chose que l’Evolution. A la question ultime : « L’Homme, qui est-il et d’où vient-il ? », la réponse de la communauté scientifique [Préhistoriens, Anthropologues, Paléontologues, Biologistes, etc.] est sans équivoque. En effet, cette dernière adopte une définition minimaliste de la Vie dont l’origine est, selon elle, un système chimique capable de reproduire l'information moléculaire qu'il porte en effectuant quelques erreurs « accidentelles » de copie qui lui permettent d'évoluer. Le hasard, les fluctuations physico-chimiques et la sélection naturelle ont crée les plans d’organisation de la Vie dont l’Homme. Selon l’Evolution, l’Homme est le descendant final des Pongidae [singes]. La Science progresse par la mise en évidence de postulats et par la proposition des idées nouvelles qui permettent de les expliquer. Dès lors, pourquoi le Qour’ãn ne pourrait-il pas être exploité scientifiquement [ce qui n’a plus été fait depuis le XIIe siècle] ? Certainement que c’est à cette condition que son contenu, c’est à dire ses opinions, ses arguments ou propositions qui vont, certes à l'encontre des idées largement admises par la communauté scientifique malheureusement embrigadée dans son dogme [Evolutionnisme, Mécanisme, Biologisme] mais qui, en réalité, ne peuvent en aucune manière heurter le bon sens, la logique, voire la raison. Les données qour’ãniques présentent, en ce qui concerne l’Homme [son origine, son apparition, sa destinée, etc.] une nouvelle théorie, plus large, qui intègre tous les éléments scientifiques et qui permettent d'y apporter une solution.
De tout temps, l'Homme a été intrigué par son origine, et cela l'a tout naturellement conduit à s'interroger sur l'origine de la Vie. Il aborde le problème selon une pensée qui l'empêchait d'y voir autre chose que l’Evolution. A la question ultime : « L’Homme, qui est-il et d’où vient-il ? », la réponse de la communauté scientifique [Préhistoriens, Anthropologues, Paléontologues, Biologistes, etc.] est sans équivoque. En effet, cette dernière adopte une définition minimaliste de la Vie dont l’origine est, selon elle, un système chimique capable de reproduire l'information moléculaire qu'il porte en effectuant quelques erreurs « accidentelles » de copie qui lui permettent d'évoluer. Le hasard, les fluctuations physico-chimiques et la sélection naturelle ont crée les plans d’organisation de la Vie dont l’Homme. Selon l’Evolution, l’Homme est le descendant final des Pongidae [singes]. La Science progresse par la mise en évidence de postulats et par la proposition des idées nouvelles qui permettent de les expliquer. Dès lors, pourquoi le Qour’ãn ne pourrait-il pas être exploité scientifiquement [ce qui n’a plus été fait depuis le XIIe siècle] ? Certainement que c’est à cette condition que son contenu, c’est à dire ses opinions, ses arguments ou propositions qui vont, certes à l'encontre des idées largement admises par la communauté scientifique malheureusement embrigadée dans son dogme [Evolutionnisme, Mécanisme, Biologisme] mais qui, en réalité, ne peuvent en aucune manière heurter le bon sens, la logique, voire la raison. Les données qour’ãniques présentent, en ce qui concerne l’Homme [son origine, son apparition, sa destinée, etc.] une nouvelle théorie, plus large, qui intègre tous les éléments scientifiques et qui permettent d'y apporter une solution.