Author: | Jean Gillibert | ISBN: | 9791026500162 |
Publisher: | AlterPublishing Books | Publication: | August 25, 2013 |
Imprint: | Smashwords Edition | Language: | French |
Author: | Jean Gillibert |
ISBN: | 9791026500162 |
Publisher: | AlterPublishing Books |
Publication: | August 25, 2013 |
Imprint: | Smashwords Edition |
Language: | French |
Ecrits dans une langue française voluptueusement riche et inspirée, ces réflexions et ces textes personnels croisant plusieurs grilles de lecture, laissent deviner une vision atypique, sur la forme comme sur le fond, de la littérature en général.
L'eau de la mémoire:
« L’interprétation ne suffit jamais à ce « faire poétique » qui transcende la production de l’inconscient. C’est l’inconscient lui-même, comme reliquat rationnel du numinal, du divin, qui dit dans la langue et les discours, l’irré¬ductible d’une énonciation, d’un énoncé, ou plus encore, d’un dire qui dépasse le dit et le non-dit. (Jean Gillibert à propos des poèmes de Rimbaud, LXVI et LXVII, reproduits à la fin de l’essai) »
Rêver au théâtre de théâtre :
« L’acteur avait beau jeu de me manifester sa présence, je m’évadais vers ce lieu impuni d’une imagination errante. »
Amour, vertige de la non/présence:
« Shakespeare réalise qu’il est toujours difficile de parler de l’amour, presque impossible, surtout lorsque les médiations du discours, ou les bénéfices esthétiques viennent à manquer. (Jean Gillibert à propos des sonnets 144, 1, 3, 20, 8, 128, 19 et 71) »
Huit sonnets de Shakespeare:
« La traduction par Jean Gillibert de huit sonnets de William Shakespeare : texte anglais et traduction française en regard des sonnets 144, 1, 3, 20, 8, 128, 19 et 71) »
Poèmes:
« Le grand heaumier, Poème pénitent, Je suis très surveillé, poèmes de Jean Gillibert, suivis du Premier stasimon de l’Antigone de Sophocle, traduit par Jean Gillibert »
Ecrits dans une langue française voluptueusement riche et inspirée, ces réflexions et ces textes personnels croisant plusieurs grilles de lecture, laissent deviner une vision atypique, sur la forme comme sur le fond, de la littérature en général.
L'eau de la mémoire:
« L’interprétation ne suffit jamais à ce « faire poétique » qui transcende la production de l’inconscient. C’est l’inconscient lui-même, comme reliquat rationnel du numinal, du divin, qui dit dans la langue et les discours, l’irré¬ductible d’une énonciation, d’un énoncé, ou plus encore, d’un dire qui dépasse le dit et le non-dit. (Jean Gillibert à propos des poèmes de Rimbaud, LXVI et LXVII, reproduits à la fin de l’essai) »
Rêver au théâtre de théâtre :
« L’acteur avait beau jeu de me manifester sa présence, je m’évadais vers ce lieu impuni d’une imagination errante. »
Amour, vertige de la non/présence:
« Shakespeare réalise qu’il est toujours difficile de parler de l’amour, presque impossible, surtout lorsque les médiations du discours, ou les bénéfices esthétiques viennent à manquer. (Jean Gillibert à propos des sonnets 144, 1, 3, 20, 8, 128, 19 et 71) »
Huit sonnets de Shakespeare:
« La traduction par Jean Gillibert de huit sonnets de William Shakespeare : texte anglais et traduction française en regard des sonnets 144, 1, 3, 20, 8, 128, 19 et 71) »
Poèmes:
« Le grand heaumier, Poème pénitent, Je suis très surveillé, poèmes de Jean Gillibert, suivis du Premier stasimon de l’Antigone de Sophocle, traduit par Jean Gillibert »