Author: | George Sand | ISBN: | 1230000283617 |
Publisher: | PRB | Publication: | December 2, 2014 |
Imprint: | Language: | French |
Author: | George Sand |
ISBN: | 1230000283617 |
Publisher: | PRB |
Publication: | December 2, 2014 |
Imprint: | |
Language: | French |
Ce livre comporte une table des matières dynamique.
Il est parfaitement mis en page pour une lecture sur liseuse électronique.
George Sand (1804 - 1876) est le pseudonyme d'Amantine Aurore Lucile Dupin, baronne Dudevant, romancière, auteur dramatique, critique littéraire française et journaliste.
Elle compte parmi les écrivains prolifiques avec plus de soixante-dix romans à son actif, cinquante volumes d'œuvres diverses dont des nouvelles, des contes, des pièces de théâtre et des textes politiques.
Marianne - Résumé :
Ce roman raconte une histoire d'amour où l'amoureux est si aveugle sur ses propres sentiments envers la jeune femme qu'il aime, que cela donne lieu à des situations piquantes, des joutes verbales au cours desquelles le lecteur lucide s'amuse de ce personnage sans douter un seul instant de l'issue possible.
Pierre André se retire à la campagne auprès de sa mère à l'âge de quarante ans. Intelligent, érudit, à la fois scientifique et poète, il a échoué dans sa carrière faute de savoir se mettre en avant, souffrant d'une excessive timidité liée à un manque de confiance en lui. Sa voisine qui est aussi sa filleule, Marianne Chevreuse, 25 ans, pourvue d'une fortune confortable qui la rend indépendante, vit seule depuis la mort de ses parents.
Un bien joli roman qui mériterait d'être plus connu.
Marianne - Extrait :
"Quand tu passes le long des buissons, sur ce maigre cheval qui a l’air d’une chèvre sauvage, à quoi penses-tu, belle endormie ? Quand je dis belle,… tu ne l’es point, tu es trop menue, trop pâle, tu manques d’éclat, et tes yeux, qui sont grands et noirs, n’ont pas la moindre étincelle de vie. Or, quand tu passes le long des buissons, sans soupçonner que quelqu’un peut être là pour te voir paraître et disparaître, — quel est le but de ta promenade et le sujet de ta rêverie ? Tes yeux regardent droit devant eux, ils ont l’air de regarder loin. Peut-être ta pensée va-t-elle aussi loin que tes yeux ; peut-être dort-elle, concentrée en toi-même."
Tel était le monologue intérieur de Pierre André pendant que Marianne Chevreuse, après avoir descendu au pas sous les noyers, passait devant le ruisseau et s’éloignait au petit galop pour disparaître au tournant des roches...
Ce livre comporte une table des matières dynamique.
Il est parfaitement mis en page pour une lecture sur liseuse électronique.
George Sand (1804 - 1876) est le pseudonyme d'Amantine Aurore Lucile Dupin, baronne Dudevant, romancière, auteur dramatique, critique littéraire française et journaliste.
Elle compte parmi les écrivains prolifiques avec plus de soixante-dix romans à son actif, cinquante volumes d'œuvres diverses dont des nouvelles, des contes, des pièces de théâtre et des textes politiques.
Marianne - Résumé :
Ce roman raconte une histoire d'amour où l'amoureux est si aveugle sur ses propres sentiments envers la jeune femme qu'il aime, que cela donne lieu à des situations piquantes, des joutes verbales au cours desquelles le lecteur lucide s'amuse de ce personnage sans douter un seul instant de l'issue possible.
Pierre André se retire à la campagne auprès de sa mère à l'âge de quarante ans. Intelligent, érudit, à la fois scientifique et poète, il a échoué dans sa carrière faute de savoir se mettre en avant, souffrant d'une excessive timidité liée à un manque de confiance en lui. Sa voisine qui est aussi sa filleule, Marianne Chevreuse, 25 ans, pourvue d'une fortune confortable qui la rend indépendante, vit seule depuis la mort de ses parents.
Un bien joli roman qui mériterait d'être plus connu.
Marianne - Extrait :
"Quand tu passes le long des buissons, sur ce maigre cheval qui a l’air d’une chèvre sauvage, à quoi penses-tu, belle endormie ? Quand je dis belle,… tu ne l’es point, tu es trop menue, trop pâle, tu manques d’éclat, et tes yeux, qui sont grands et noirs, n’ont pas la moindre étincelle de vie. Or, quand tu passes le long des buissons, sans soupçonner que quelqu’un peut être là pour te voir paraître et disparaître, — quel est le but de ta promenade et le sujet de ta rêverie ? Tes yeux regardent droit devant eux, ils ont l’air de regarder loin. Peut-être ta pensée va-t-elle aussi loin que tes yeux ; peut-être dort-elle, concentrée en toi-même."
Tel était le monologue intérieur de Pierre André pendant que Marianne Chevreuse, après avoir descendu au pas sous les noyers, passait devant le ruisseau et s’éloignait au petit galop pour disparaître au tournant des roches...