Author: | Gilbert Bourson | ISBN: | 9782355544323 |
Publisher: | Le chasseur abstrait éditeur | Publication: | June 16, 2019 |
Imprint: | Language: | French |
Author: | Gilbert Bourson |
ISBN: | 9782355544323 |
Publisher: | Le chasseur abstrait éditeur |
Publication: | June 16, 2019 |
Imprint: | |
Language: | French |
On reçoit toujours des nouvelles de quelque part où nous sommes sans le savoir, et c’est de nous-mêmes que ces récits nous parviennent. Le rêve est un des ports de notre existence où nous mouillons souvent. Donc ces nouvelles, je les ai reçues de ces rêves qui se sont éveillés, pour se déposer insolemment du coté de la réalité. La sexualité dans sa dramaturgie retorse, y est partout présente pour semer le trouble dans le quotidien, afin d’en réveiller le cours trop régulé en lui restituant ses possibles vertiges et lui faire toucher le fond qui est sans fond et où le sens se perd en se multipliant. Mille petits indices que la langue a pu commettre quelques meurtres, sont disséminés au cours de ces récits quelque peu policiers. Le ton, certains diraient le style, diffère souvent d’une nouvelle à l’autre. Parfois le sens y est obscur ou incertain, la formule en est comme incomplète ou partie d’un concept erroné. C’est au lecteur de prendre le relai, afin d’en rectifier les données de départ ou bien d’en corriger le résultat final. Les textes de ce recueil ont été composés les uns à la suite des autres à intervalles irréguliers dans la chronologie qui est àOn reçoit toujours des nouvelles de quelque part où nous sommes sans le savoir, et c’est de nous-mêmes que ces récits nous parviennent. Le rêve est un des ports de notre existence où nous mouillons souvent. Donc ces nouvelles, je les ai reçues de ces rêves qui se sont éveillés, pour se déposer insolemment du coté de la réalité. La sexualité dans sa dramaturgie retorse, y est partout présente pour semer le trouble dans le quotidien, afin d’en réveiller le cours trop régulé en lui restituant ses possibles vertiges et lui faire toucher le fond qui est sans fond et où le sens se perd en se multipliant. Mille petits indices que la langue a pu commettre quelques meurtres, sont disséminés au cours de ces récits quelque peu policiers. Le ton, certains diraient le style, diffère souvent d’une nouvelle à l’autre. Parfois le sens y est obscur ou incertain, la formule en est comme incomplète ou partie d’un concept erroné. C’est au lecteur de prendre le relai, afin d’en rectifier les données de départ ou bien d’en corriger le résultat final. Les textes de ce recueil ont été composés les uns à la suite des autres à intervalles irréguliers dans la chronologie qui est à peu près celle des chapitres de roman. Mon idée était de laisser à la langue la presque initiative de la narration. Si j’avais au départ une idée de récit, elle était très ténue et je suivais le fil au fur et à mesure qu’avançait l’écriture un peu comme un lecteur déchiffre un texte lu pour la première fois. Et quant aux aphorismes, ils participent de l’humour autant que de ma réflexion sur le langage. peu près celle des chapitres de roman. Mon idée était de laisser à la langue la presque initiative de la narration. Si j’avais au départ une idée de récit, elle était très ténue et je suivais le fil au fur et à mesure qu’avançait l’écriture un peu comme un lecteur déchiffre un texte lu pour la première fois. Et quant aux aphorismes, ils participent de l’humour autant que de ma réflexion sur le langage.
On reçoit toujours des nouvelles de quelque part où nous sommes sans le savoir, et c’est de nous-mêmes que ces récits nous parviennent. Le rêve est un des ports de notre existence où nous mouillons souvent. Donc ces nouvelles, je les ai reçues de ces rêves qui se sont éveillés, pour se déposer insolemment du coté de la réalité. La sexualité dans sa dramaturgie retorse, y est partout présente pour semer le trouble dans le quotidien, afin d’en réveiller le cours trop régulé en lui restituant ses possibles vertiges et lui faire toucher le fond qui est sans fond et où le sens se perd en se multipliant. Mille petits indices que la langue a pu commettre quelques meurtres, sont disséminés au cours de ces récits quelque peu policiers. Le ton, certains diraient le style, diffère souvent d’une nouvelle à l’autre. Parfois le sens y est obscur ou incertain, la formule en est comme incomplète ou partie d’un concept erroné. C’est au lecteur de prendre le relai, afin d’en rectifier les données de départ ou bien d’en corriger le résultat final. Les textes de ce recueil ont été composés les uns à la suite des autres à intervalles irréguliers dans la chronologie qui est àOn reçoit toujours des nouvelles de quelque part où nous sommes sans le savoir, et c’est de nous-mêmes que ces récits nous parviennent. Le rêve est un des ports de notre existence où nous mouillons souvent. Donc ces nouvelles, je les ai reçues de ces rêves qui se sont éveillés, pour se déposer insolemment du coté de la réalité. La sexualité dans sa dramaturgie retorse, y est partout présente pour semer le trouble dans le quotidien, afin d’en réveiller le cours trop régulé en lui restituant ses possibles vertiges et lui faire toucher le fond qui est sans fond et où le sens se perd en se multipliant. Mille petits indices que la langue a pu commettre quelques meurtres, sont disséminés au cours de ces récits quelque peu policiers. Le ton, certains diraient le style, diffère souvent d’une nouvelle à l’autre. Parfois le sens y est obscur ou incertain, la formule en est comme incomplète ou partie d’un concept erroné. C’est au lecteur de prendre le relai, afin d’en rectifier les données de départ ou bien d’en corriger le résultat final. Les textes de ce recueil ont été composés les uns à la suite des autres à intervalles irréguliers dans la chronologie qui est à peu près celle des chapitres de roman. Mon idée était de laisser à la langue la presque initiative de la narration. Si j’avais au départ une idée de récit, elle était très ténue et je suivais le fil au fur et à mesure qu’avançait l’écriture un peu comme un lecteur déchiffre un texte lu pour la première fois. Et quant aux aphorismes, ils participent de l’humour autant que de ma réflexion sur le langage. peu près celle des chapitres de roman. Mon idée était de laisser à la langue la presque initiative de la narration. Si j’avais au départ une idée de récit, elle était très ténue et je suivais le fil au fur et à mesure qu’avançait l’écriture un peu comme un lecteur déchiffre un texte lu pour la première fois. Et quant aux aphorismes, ils participent de l’humour autant que de ma réflexion sur le langage.