Author: | James Fenimore Cooper | ISBN: | 1230000300228 |
Publisher: | PRB | Publication: | February 14, 2015 |
Imprint: | Language: | French |
Author: | James Fenimore Cooper |
ISBN: | 1230000300228 |
Publisher: | PRB |
Publication: | February 14, 2015 |
Imprint: | |
Language: | French |
Ce roman d'amour, peinture des mœurs anglaises du début du XIXe siècle, est l'œuvre de l'écrivain américain James Fenimore Cooper (1789 - 1851).
Ce livre comporte une table des matières dynamique.
Il est parfaitement mis en page pour une lecture sur liseuse électronique.
Résumé :
La vie s'écoule paisiblement pour Sir Edward Moseley et son épouse, retirés dans leur château de la campagne anglaise en compagnie de leurs enfants.
L'arrivée d'un nouveau voisin, M. Jarvis, honnête marchand en retraite et de sa famille semble apporter un peu de nouveauté dans la monotonie du quotidien, d'autant que Mrs Wilson, sœur d'Edward à laquelle celui-ci avait entièrement confié l'éducation d'Emilie, la plus jeune de ses filles, semble entrevoir dans ses nouveaux venus l'occasion d'un mariage...
Extrait :
— Je voudrais bien savoir si nous aurons bientôt un voisin au Doyenné, dit Clara Moseley en regardant par une croisée d’où l’on découvrait dans le lointain la maison dont elle parlait et en s’adressant à la petite société rassemblée dans le salon de son père.
— Cela ne tardera pas, répondit son frère ; sir William vient de la louer pour deux ans à M. Jarvis, qui doit en prendre possession cette semaine.
— Et quel est ce M. Jarvis qui va devenir notre voisin ? demanda sir Edward Moseley à son fils.
— On dit, mon père, que c’est un honnête marchand qui s’est retiré des affaires avec une grande fortune. Comme vous, il a un seul fils, officier dans l’armée, et de plus deux filles qu’on dit charmantes ; voilà tout ce que j’ai pu savoir sur sa famille. Quant à ses ancêtres, ajouta-t-il en-baissant la voix et en regardant la seconde de ses sœurs, j’en suis désolé, ma chère Jane, mais on ne les connaît pas, et jusqu’à présent toutes mes recherches ont été inutiles.
— J’espère, Monsieur, que ce n’est pas pour moi que vous avez pris la peine de vous en informer ? répondit Jane un peu piquée.
— Pardonnez-moi, ma chère, et, pour vous faire plaisir, je vais prendre de nouveau les informations les plus exactes, répondit son frère en plaisantant ; je sais qu’un soupirant roturier perdrait ses peines auprès de vous, et je sens combien il est cruel pour de jeunes personnes de ne pas entrevoir la moindre apparence de mariage. Pour Clara, elle est bien tranquille à présent, et Francis…
Ce roman d'amour, peinture des mœurs anglaises du début du XIXe siècle, est l'œuvre de l'écrivain américain James Fenimore Cooper (1789 - 1851).
Ce livre comporte une table des matières dynamique.
Il est parfaitement mis en page pour une lecture sur liseuse électronique.
Résumé :
La vie s'écoule paisiblement pour Sir Edward Moseley et son épouse, retirés dans leur château de la campagne anglaise en compagnie de leurs enfants.
L'arrivée d'un nouveau voisin, M. Jarvis, honnête marchand en retraite et de sa famille semble apporter un peu de nouveauté dans la monotonie du quotidien, d'autant que Mrs Wilson, sœur d'Edward à laquelle celui-ci avait entièrement confié l'éducation d'Emilie, la plus jeune de ses filles, semble entrevoir dans ses nouveaux venus l'occasion d'un mariage...
Extrait :
— Je voudrais bien savoir si nous aurons bientôt un voisin au Doyenné, dit Clara Moseley en regardant par une croisée d’où l’on découvrait dans le lointain la maison dont elle parlait et en s’adressant à la petite société rassemblée dans le salon de son père.
— Cela ne tardera pas, répondit son frère ; sir William vient de la louer pour deux ans à M. Jarvis, qui doit en prendre possession cette semaine.
— Et quel est ce M. Jarvis qui va devenir notre voisin ? demanda sir Edward Moseley à son fils.
— On dit, mon père, que c’est un honnête marchand qui s’est retiré des affaires avec une grande fortune. Comme vous, il a un seul fils, officier dans l’armée, et de plus deux filles qu’on dit charmantes ; voilà tout ce que j’ai pu savoir sur sa famille. Quant à ses ancêtres, ajouta-t-il en-baissant la voix et en regardant la seconde de ses sœurs, j’en suis désolé, ma chère Jane, mais on ne les connaît pas, et jusqu’à présent toutes mes recherches ont été inutiles.
— J’espère, Monsieur, que ce n’est pas pour moi que vous avez pris la peine de vous en informer ? répondit Jane un peu piquée.
— Pardonnez-moi, ma chère, et, pour vous faire plaisir, je vais prendre de nouveau les informations les plus exactes, répondit son frère en plaisantant ; je sais qu’un soupirant roturier perdrait ses peines auprès de vous, et je sens combien il est cruel pour de jeunes personnes de ne pas entrevoir la moindre apparence de mariage. Pour Clara, elle est bien tranquille à présent, et Francis…