La démagogie et l’hypocrisie sont les deux mamelles de la déséducation nationale. C’est peu de dire que l’école se porte mal. Elle constitue la principale caisse de résonance d’un malaise qui la dépasse et qui gangrène la société. Elle souffre surtout d’une entreprise de destruction massive orchestrée par une administration ministérielle aux mains d’idéologues pédagogistes qui ne sont pas seulement de naïfs Trissotins. L’auteur de ce petit livre a supporté, non sans peine, pendant plus de quarante ans, les affres de cette « décérébration » programmée. Il a eu la chance d’exercer parallèlement dans le secondaire et dans le supérieur et s’est trouvé confronté à nombre de maux qui ont aujourd’hui engendré la débâcle de notre école : la succession des réformes, la complexité des programmes, les aberrations de l’orientation, les atteintes répétées contre la laïcité… Une vision à la fois personnelle et élargie, simplement nourrie d’une expérience et d’un bon sens qu’exigent la pratique du « terrain » et surtout l’amour du métier.
La démagogie et l’hypocrisie sont les deux mamelles de la déséducation nationale. C’est peu de dire que l’école se porte mal. Elle constitue la principale caisse de résonance d’un malaise qui la dépasse et qui gangrène la société. Elle souffre surtout d’une entreprise de destruction massive orchestrée par une administration ministérielle aux mains d’idéologues pédagogistes qui ne sont pas seulement de naïfs Trissotins. L’auteur de ce petit livre a supporté, non sans peine, pendant plus de quarante ans, les affres de cette « décérébration » programmée. Il a eu la chance d’exercer parallèlement dans le secondaire et dans le supérieur et s’est trouvé confronté à nombre de maux qui ont aujourd’hui engendré la débâcle de notre école : la succession des réformes, la complexité des programmes, les aberrations de l’orientation, les atteintes répétées contre la laïcité… Une vision à la fois personnelle et élargie, simplement nourrie d’une expérience et d’un bon sens qu’exigent la pratique du « terrain » et surtout l’amour du métier.