Lorsque Motörhead a vu le jour en juin 1975, personne n’aurait parié un penny sur ce groupe qui faisait passer les Sex Pistols ou les Damned pour de gentils garçons. Sur scène comme dans les coulisses, sur la route ou dans le public, Motörhead était synonyme de « danger permanent ». Et c’est un miracle s’il n’y a eu aucun mort à déplorer au sein du groupe, en plus de trois décennies. Lemmy et ses deux complices depuis plus de treize ans ne dévient quasiment pas de la ligne directrice définie dès le premier album avec la formation Kilmister/Clarke/Taylor, qui lui a valu ses premiers succès notables à la fin des années soixante-dix. En plus de quelques monuments, Motörhead n’a jamais sorti un seul album vraiment honteux, même en ajoutant les innombrables sous-produits sortis par divers labels peu scrupuleux. Si, pour beaucoup, Lemmy « est » Motörhead, il n’est pas inutile de revenir sur tous ceux qui ont participé à l’étonnante aventure d’un groupe qui n’a pas toujours été traité avec le respect qui lui est dû, même s’il bénéficie aujourd’hui d’une reconnaissance quasi universelle.
Lorsque Motörhead a vu le jour en juin 1975, personne n’aurait parié un penny sur ce groupe qui faisait passer les Sex Pistols ou les Damned pour de gentils garçons. Sur scène comme dans les coulisses, sur la route ou dans le public, Motörhead était synonyme de « danger permanent ». Et c’est un miracle s’il n’y a eu aucun mort à déplorer au sein du groupe, en plus de trois décennies. Lemmy et ses deux complices depuis plus de treize ans ne dévient quasiment pas de la ligne directrice définie dès le premier album avec la formation Kilmister/Clarke/Taylor, qui lui a valu ses premiers succès notables à la fin des années soixante-dix. En plus de quelques monuments, Motörhead n’a jamais sorti un seul album vraiment honteux, même en ajoutant les innombrables sous-produits sortis par divers labels peu scrupuleux. Si, pour beaucoup, Lemmy « est » Motörhead, il n’est pas inutile de revenir sur tous ceux qui ont participé à l’étonnante aventure d’un groupe qui n’a pas toujours été traité avec le respect qui lui est dû, même s’il bénéficie aujourd’hui d’une reconnaissance quasi universelle.