Un témoignage émouvant sur la protection des aînés, qui doit devenir une préoccupation majeure dans notre société vieillissante.
À l'horizon 2050, les plus de 75 ans représenteront 12 millions de personnes et un tiers de la population française aura plus de 60 ans. Autant de personnes vulnérables dont certaines, placées en situation de faiblesse et de dépendance par les circonstances de la vie, devront être protégées.
L’histoire de Rosine – anagramme de senior – allie les jours heureux à la solitude et la mélancolie, et s’inscrit dans une réalité sociologique, celle de la maltraitance des personnes âgées isolées.
Elle alerte et contribue utilement à éclairer les choix que la société devra faire pour garantir la solidarité entre les âges, le bien vieillir et la protection des aînés.
Cet ouvrage met la lumière sur une triste réalité et offre des pistes pour l'éviter !
EXTRAIT
Mille et une ruses alimentent l’explosion de ce phénomène qui débute souvent au domicile de la personne âgée et est, la plupart du temps, le fait de familiers. En outre, la mainmise grandissante des sectes sur le grand âge n’est absolument pas à négliger. Quand les unes prétendent s’occuper des âmes, les autres assurent sauver les corps. Ainsi, des auxiliaires bénévoles du monde associatif, censés dispenser le réconfort, des psycho-guérisseurs et des pseudo-thérapeutes, garantissant guérison et mieux-être, appartenant parfois à des groupes sectaires, approchent sournoisement des personnes âgées ou poussent les portes des maisons de retraite. L’alerte, si elle a lieu, vient le plus souvent des familles. Si la victime n’a plus de proches, le pot aux roses peut être découvert une fois les comptes vidés ou après le décès de la personne âgée, lors de la succession.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Présent dans le domaine social de l’habitat et d’établissements d’hébergement pour les personnes âgées, Jean-Charles Orsini a vécu la situation « d’aidant » et recueilli maints témoignages de fin de vie qui l’ont décidé à alerter sur le sujet préoccupant de la maltraitance financière de personnes âgées. Élu local pendant plus de vingt ans, membre du Centre Communal d’Action Sociale (CCAS), plusieurs années de délégation au Logement et à l’Habitat l’ont amené à identifier les difficultés des familles. Il dirige un cabinet de conseil en gestion sociale, parcours professionnel et accompagnement de la personne. Il est Chevalier de la Légion d’Honneur.
Un témoignage émouvant sur la protection des aînés, qui doit devenir une préoccupation majeure dans notre société vieillissante.
À l'horizon 2050, les plus de 75 ans représenteront 12 millions de personnes et un tiers de la population française aura plus de 60 ans. Autant de personnes vulnérables dont certaines, placées en situation de faiblesse et de dépendance par les circonstances de la vie, devront être protégées.
L’histoire de Rosine – anagramme de senior – allie les jours heureux à la solitude et la mélancolie, et s’inscrit dans une réalité sociologique, celle de la maltraitance des personnes âgées isolées.
Elle alerte et contribue utilement à éclairer les choix que la société devra faire pour garantir la solidarité entre les âges, le bien vieillir et la protection des aînés.
Cet ouvrage met la lumière sur une triste réalité et offre des pistes pour l'éviter !
EXTRAIT
Mille et une ruses alimentent l’explosion de ce phénomène qui débute souvent au domicile de la personne âgée et est, la plupart du temps, le fait de familiers. En outre, la mainmise grandissante des sectes sur le grand âge n’est absolument pas à négliger. Quand les unes prétendent s’occuper des âmes, les autres assurent sauver les corps. Ainsi, des auxiliaires bénévoles du monde associatif, censés dispenser le réconfort, des psycho-guérisseurs et des pseudo-thérapeutes, garantissant guérison et mieux-être, appartenant parfois à des groupes sectaires, approchent sournoisement des personnes âgées ou poussent les portes des maisons de retraite. L’alerte, si elle a lieu, vient le plus souvent des familles. Si la victime n’a plus de proches, le pot aux roses peut être découvert une fois les comptes vidés ou après le décès de la personne âgée, lors de la succession.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Présent dans le domaine social de l’habitat et d’établissements d’hébergement pour les personnes âgées, Jean-Charles Orsini a vécu la situation « d’aidant » et recueilli maints témoignages de fin de vie qui l’ont décidé à alerter sur le sujet préoccupant de la maltraitance financière de personnes âgées. Élu local pendant plus de vingt ans, membre du Centre Communal d’Action Sociale (CCAS), plusieurs années de délégation au Logement et à l’Habitat l’ont amené à identifier les difficultés des familles. Il dirige un cabinet de conseil en gestion sociale, parcours professionnel et accompagnement de la personne. Il est Chevalier de la Légion d’Honneur.